vendredi 11 octobre 2024

L'IMMENSITE DANS UNE CROTTE D'OISEAU


Je ne comprends pas ma fée qui hurle en me retrouvant au fond du 7ème sous-sol en train de chialer, que fais-tu là, pourquoi tu pleures, pourquoi tu ne prépares pas à bouffer, pourquoi tu ne fais pas ci pas ça... Voilà comment je vis ma dépression, je dépressionne depuis plus de quarante ans et personne n'a jamais rien vu, personne surtout ne veut rien voir. Ma mère qui me confond avec ma nièce, mon père qui croit que je ne sais que coller deux morceaux de bois, ma fée qui se rends compte seulement maintenant qu'elle a épousé le pire de la bande. Et je continue à vivre, au milieu de vous, le coeur déchiré par tant d'oubli, le bruit de ma respiration m'écharpe les veines, j'entends toutes les phrases qui s'échouent violemment dans le fond de mon crâne et j'entends encore à la seconde un "t'es chiant quand tu es comme ça, on ne peut même plus te parler"...Franchement j'ai peur, j'ai peur de rédiger une petite lettre que je laisserai sur le siège passager juste avant de me bouffer un train à Laneuveville,celui de 07h23 par exemple. J'ai peur de tout et de tout le monde, de tout ces mensonges, je ne parle même pas de politique, mais juste des mensonges du quotidien, ceux qui font que je planque une bouteille de vin au milieu des pots de peinture, des petits riens qui finissent par devenir des affaires d'état, encore plus importants que les codes des boutons des armes nucléaires, juste une immersion dans mon 11ème sous-sol la gueule à l'envers, pour oublier ce que je ne n'ai pas retenu. Maintenant j'ai peur de moi, je rédige des phrases sur des bouts de papier pour me dire quoi faire le lendemain, papiers que je garde dans ma main même la nuit et que je redécouvre le matin comme un message de paix ou de folie, un message de survie, un truc du genre vas tailler la haie et ne réfléchis pas, hier était hier.  J'écris même des bouts de papiers mystères, des trucs sans sens, sans but, et je me raccroche à ces énigmes d'un temps passé pour imaginer mon futur du jour. Je ne vois plus au delà d'une journée. Trop dur, trop réaliste ce futur. Alors j'écoute les infos, je ne comprends rien aux guerres, je ne comprends rien à l'économie mondiale, je ne comprends rien à l'immigration, je ne comprends rien aux meurtres ni aux dealers, je ne comprends rien à la météo, je ne comprends rien aux nouvelles technologies, je ne comprends rien aux ielles, aux transgenres, aux pédés, aux hétéros, aux soldats, à l'inflation....j'entends mais je ne comprends rien. J'ai peur alors d'être anormal, d'être stupide, de n'avoir aucune conversation avec des gens tellement imbibés de toute cette merde quotidienne, j'ai peur de ne pas aimer les frites et que les autres le sachent, j'ai peur d'être moi-même et que les visages se figent en me regardant. Alors je deviens un rien, un truc dans l'infini, même pas à la hauteur d'un coup de crayon sur une feuille blanche, invisible. J'ai peur de ces guerres dont tout le monde parle, j'ai peur de ne pas arriver à la retraite, j'ai peur de l'argent que tout le monde adore, j'ai peur des sulfites du vin que je bois à outrance, j'ai peur de la musique que je ne maîtrise pas, j'ai peur des artistes qui me font peur, de ces artistes qui sont artistes, j'ai peur de la télévision, j'ai peur quand je suis sur la route, j'ai peur !!! Bordel c'est si dur à comprendre que j'ai peur ?!!! Pourquoi je ne communique pas, avec personne, pourquoi je pars au fond de la salle lors d'une réunion, pourquoi tu ne me vois même pas rentrer dans une salle de concert, pourquoi je choisis toujours l'endroit le plus isolé partout où je me trouve, pourquoi personne ne sait qui je suis ??????????? Il me semble, je dis bien il me semble, que seuls mes chiens savent ce que je ressens, qui je suis, ce soir mon zimzim ne m'a pas quitté de dix centimètres, sauf quand ma fée est rentrée dans le bureau, il a eu peur comme moi et il est parti avec elle, je suis resté devant le clavier les larmes le long des joues, je ne sais plus, je ne comprends plus, je ne vis plus. Il est marrant mon suicide, beaucoup moins spectaculaire qu'un coup de guidon vers un camion sur la nationale avec ma moto, mais tellement plus violent !!!
Madloonflayed©2024-Et toi ? As-tu peur ?


samedi 10 août 2024

JUSQU'ICI TOUT NE VA PAS BIEN

 BBB BB
Noir blanc homme femme, vous êtes tous partis dans un délire de genre mais

genre j'ai quitté la planète à quel épisode déjà moi? Il est où le problème ?

Dans la forêt, ouai dans la forêt, rentre dans une forêt et regarde, pousse

les branches, dérange les feuilles et reviens me voir après. Regarde les

fleurs, les limaces, les insectes et reviens me voir après. Regarde ma

bagnole électrique et les couilles qu'il faut avoir pour la conduire et

reviens me voir après. En quelle année sommes nous ? Et ces trous du cul

veulent encore m'en apprendre, alors que j'ai nagé dans toutes les mers

alors qu'ils n'étaient pas encore nés, j'ai dégagé tellement de questions

alors qu'ils ne sont qu'à se demander pourquoi deux plus deux égal quatre,

vingt huit pour moi, des kilomètres à faire le con sur les lignes vertes du

monde, enfin de France déjà, et personne ne m'a jamais vu pleurer avec les

seins à l'air dans les rues de Paris avec de l'encre sur le torse, et

pourtant je peux leur en montrer, leur en apprendre à ces fils de Katerine.

Je suis assis dans la merde et je suis fatigué et pourtant je danse. Je

suis dans une anamorphose de ta vie, comment veux-tu que je t'encule, avec

un regard pervers ou en hétéro avec des coups de fouets ou juste en

macronie, prends ma bite entre tes mains et ferme les yeux et fais un tête

à ma queue, putain j'avais dis pas de gros mots, ohhhhhh yehhhhhhh.

L'espoir d'un Luchini au service de la société, je kiffe ce type, mais je

vais devenir un brouilleur de piste, juste pour vous faire perdre les

pédales, ouai ouhhh yéhhhh, devenir un putain de soldat à coup de 49.3 avec

des couilles à l'intérieur de ma raie du cul, tu sais comment ils

s'appellent ouhhhh yé, ah oui les gauchos ! Les nouveaux rois de la

république avec une ceinture d'explosifs autour du cerveau, alllalalalala

babarrr, ouh yéhhhhh la france très soumise. Ne me laisse jamais avoir

l'envie de faire la guerre à tous ces êtres fragiles. Les mêmes qui hier

étaient heil prout et maintenant se promènent dans du lycra pour aller

faire une école d'ergothérapie,  la gueule qui devient bleue devant une

fête qui fait de toi ce qu'elle veut. Ce que tu veux ! Je serai bien

premier ministre moi, à poil avec des poils de cul au bord du suicide, en

mode je me retourne et fais de moi ce que tu veux.... Pas  les doigts hein.

Crier encore, ah oui, je me souviens je suis dans la forêt, je vais perdre

cette vie, complétement écoeuré, pour oublier ma mort, des perfusions

pleins les veines, je suis programmé pour aller jusqu'au bout de ma vie en

oubliant les souffrances, tu sais mon corps qui déconne en mode joyeux.

Plus tu me vois plus tu crois que je vais bien, plus j'oublie ma mort.

Jusque ce soir. Me reste t-il un peu de disco dans la tronche ? Danse mon

petit Madloonflayed. Je suis dans un monde de Travolta sauf qu'à chaque

grand écart je prends une gifle en pleine gueule, saturday night fever.

TRAVOLTA ! Et je suis dans une psychanalise de ma vie sans bruits, tu sais

un peu comme vivre dans un immeuble et être heureux d'avoir des voisins

tant qu'il n'y a pas de fête des voisins. Pixellisation de mes

saints, de mes croyances, de mes envies, je vais photoshoper mon avenir,

dans un fantasme de vide, un Las Végas rien que pour moi. Libre et vide,

oublier qui je suis. Oublier où je suis. J'ai quitté ma vie, j'ai quitté

vos vies, reste un hologramme de mon existence dans les couloirs d'un

centre de rééducation, une espèce d'être qui crie en silence et que

personne ne voit. Le même être qui revit sous la terre, les fenètres

fermées, le noir derrière les portes, du bruit à s'en rendre sourd, ou

sourd de ne plus entendre le bruit, à cotoyer ma propre mort en danger avec

des lames, debout devant un étau les doigts déchiquetés en attendant la

crise cardiaque qui ne vient pas. J'ai quitté ce monde, vraiment. Mais

comment expliquer aux êtres qui virevoltent autour de moi, comment leur

dire, comment ne pas claquer des mains comme pour écraser un moustique

entreprenant rêvant de mon sang, dites moi je ne sais pas. Je suis sur

scène, quelques notes de musique en tête ou sur un papier quadrillé en 5x5,

je me crois batteur, guitariste, chanteur, mais aucun son ne sort de mes

cris. Le casque sur les oreilles, le nez sur un micro, je regarde les gradins vides, le son du silence, le magnifique. J'écris avec un phare de mobylette dans la gueule, perdu dans la nuit, enfin je crois qu'il fait nuit. Il fait nuit ? Je me suis vu pendu au bout d'une branche, les jambes se débattants sans comprendre que la tête était déjà partie, putain de cauchemars, ou rêves refoulés. Difficile de vivre le lendemain, quand mes rêves trempent leurs doigts dans mon thé noir aux agrumes et mes cauchemars tartinent le pain à l'envers. Allez je vais lâcher quelques trucs qui me font chier depuis quelques jours dans ma tronche, ça aussi c'est compliqué, vivre avec des phrases qui viennent jours et nuits happer mes phases de silence sans jamais me laisser me reposer. Alors ouai j'ai l'air un peu cinglé des fois, mais....bah j'y suis. Allez un ptit délire qui la nuit dernière m'a bien fait chié. Debout face au combat, la peau en fusion, debout devant les cités en feu, l'appel des sirènes, lesquelles déjà, je suis un aveugle et je rêve que tu me montres le chemin loin des flammes, peut-être que je devrais demander de l'aide, peut-être que je devrais me suicider, peut-être que je suis un être différent, attaché à la ...
Madloonflayed©2024-Jusqu'ici tout ne va pas bien !
Peut être une image de 4 personnes et éclipse

samedi 13 juillet 2024

JE PREFERE ME BOUFFER UNE OREILLE QUE D'ENTENDRE çA !!!

 
Assis, j'attends un bus mais pas à l'arrêt de bus, enfin juste à côté, comme aller à la poste

pour acheter un pain au chocolat, juste pour intégrer le groupe les yeux

baissés, aller à l'école juste pour tuer des profs un jour où le sol est

trempé, je pense je dors je chie je pleure je mange je bois mais les murs

sont épais sous la terre. Comme une tumeur mais c'est juste une dépression,

pire que le cancer sans chimio, un bain de sang en attendant le bus. Le bus

arrive et ne s'arrête pas, les têtes me font des signes, arrogance ou un

mal nutritié, avide mais content d'être dans le bus, fonçant vers les

platanes ou vers des montées impossible à franchir en scooter.Je reste là

assis à attendre le bus, les fruits pourrissent dans mon sac assis lui

aussi sur le trottoir, quelques chiens qui pissent dessus comme pour dire

merci d'être là alors que personne ne vient ici d'habitude, alors merci

hein les chiens. Demain j'imagine qu'ils vont me sucer les os une fois que

je serais mort à attendre le bon bus. Ils arracheront des morceaux de mon

visage et lécheront mes yeux dans des grognements immondes et fuieront

quand le bus arrivera. Le bus qui ne s'arrêtera encore pas, avec ces

visages qui ne regardent plus, un de mes bras perdu sur la route, mais

qu'importe la douleur si tu vis dans la peur. Recroquevillé à l'arrêt de

bus, des chiens chirurgiens affamés et moi insensible dans cette vie à

l'envers. J'avais oublié de m'inscrire pour le voyage en bus, fallait

réserver, je délire probablement mais j'ai loupé le bus avec des chiens qui

me bouffent les jambes, déchirent ma chair, j'ai mal mais j'ai toujours mon

ticket de bus. Troisième bus qui passe, les visages s'étonnent mais le bus

ne s'arrête toujours pas. Certains passagers rigolent, d'autres me jettent

des fleurs sèches, le chauffeur n'est même pas là, le bus file tout seul et

tout le monde rigole au final. L'inscription était gratuite en même temps. Et rien ne me fait oublier que je suis encore vivant, mutilé mais vivant, je ne sais plus si je dois rester en vie, les guerres les insultes les homophobes et toutes ces guerres irréelles, visibles sur du papier brillant à vingt heures mais trente minutes plus tard j'attends encore le bus. Les oiseaux chantent et les corbeaux me tirent la peau des bras, se battent pour me bouffer un doigt. Mes neurocellules ne fonctionnent quasi plus, comme jetées dans le fond d'un poison autour du feu. Je ne baisserai pas les yeux devant les visages du quatrième bus, tous les yeux horrifiés devant mon visage déchiqueté et mon oeil arraché, des lambeaux de chair sur les cuisses, toujours pas de chauffeurs mais c'est quoi ces bus bordel. J'ai le sommeil agité, je le sais, des cauchemars qui me racontent des histoires les yeux ouverts, combien de temps je vais attendre ce bus, tout ça juste pour mourir, quelque part, sans souvenirs, complétement dévasté, c'était quoi déjà les paroles ? Quatre cent soixante neuf jours à attendre et enfin le bon bus, sans chauffeur non plus, un bus en flamme avec des corps calcinés collés sur les sièges, une odeur de burger finalement, alors je prends place au milieu de l'allée, les chiens me suivent et sont rentrés dans le bus et lèchent et grognent et bouffent les restes des corps calcinés, j'ai enfin la paix, le bus redémarre sans chauffeur, je caresse les chiens, ouai je sais j'ai le sommeil agité, ouai mais combien de temps encore, combien de temps...
Madloonflayed©2024 - Mourir c'est un peu comme si je te disais d'aller te faire foutre !
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vendredi 28 juin 2024

LES HISTOIRES D'AMOUR FINISSENT MAL EN GÉNÉRAL


En train de capter la lumière, au fond d'un chemin sans fin finalement, ma
question est....vous pouvez répéter la question ? Je pensais aux tribus,
celles qui, au fond du chemin, dans la forêt, vivent sans wifi, sans moi,
sans toi, et qui, au final meurent comme de gros débiles alors que l'on
soigne leur truc en deux secondes ici au CHU de Brabois. Mais à quel prix
sommes nous dépendants de ce système, à quel prix sont-ils dépendants de
leur mort ? Alors moi, petite merde de prolo en manque d'affection, je
dirais....bah rien j'ai pas de cerveau, je suis juste une petite chose qui
est sortie de la forêt, comment ? Je ne sais pas. Mais je réfléchis en
cachette, parce que une petite merde comme moi qui commence à balancer des
hypothèses, des théories, des solutions....bah.....Moi chef de la tribu de
Dana...euh de Madloonflayed...(c'est dur des fois sérieux)....Alors moi
chef de la tribu de la tribu, déclare ouvert le centre de soins avec la
carte de mutuelle et de sécurité sociale à quinze chiffres pour accueillir
les tribus en slip de peau de bête et les nichons à l'air au CHU...pour les
chefs à gueule de plateau à tarte...on verra après....concentrons-nous
bordel. Heureusement que j'avais attaché le zimzim pendant ma promenade du
soir, je me suis effondré dans l'herbe en pensant à demain. J'avoue que les
léchouilles après le sniffage de caca du zimzim, ça réveille. Boire ou ne
pas boire, that is the bouchon. Tu savais que j'étais déconnecté des infos
depuis presque trente jours....politique, guerre, inflation, président
transgenre, paille, eurovision, extrême gauche, scooter, rat et cie.....bah
c'est fini, entre manque d'un shoot de trop et la vraie vie, dehors,
dedans, au fond de mon 7ème sous-sol, dans mon jardin extraordinaire, je
suis perdu ou retrouvé, en fait je suis un perdu retrouvé la gueule ouverte
devant un bourdon qui bosse encore à 22h19, en conversation avec un chat,
en contemplation devant la lune. Il me manque le calendrier d'Aubade pour
la cartouche finale bordel à l'arrière du taxi. C'était quoi encore cette journée ? Je monte un dossier vacances, un autre projets, un autre amour, un autre comment lutter contre les pucerons sans mourir d'un cancer. Où sont mes idées, mes créations, mes délires, mes textes, mes addictions ? Ahhh doux Djéseuce Marie Joseph et sainte verdure, faut protéger notre terre et surtout notre fric. Actions bancaires...sinon j'ai chopé une bombe de peinture pour les voiles de mes bateaux à moins d'un euro chez Action..., qui fera l'affaire pour les pinces du crabe et debout la mer monte. Quelqu'un a le calendrier d'Aubade au fait ? Je demande parce que j'ai douze huit de tension, sinon je demanderai pas. Personne ne me regarde, j'ai l'air un peu trop défoncé non ? C'est marrant les apparences, c'est l'air des réseaux, au bureau, sous la pluie en chantant nan mais laissez moi manger ma banane. Ma vie de merde moisie au fond d'un frigo. Oupsss c'est parti je pars dans la colère. Détends toi Madloonflayed, détends toi. Je sens bien que je suis différent, il me suffit de regarder autour de moi, trop de normalités, trop de collègues qui ne me comprennent pas, juste un petit magasinier un peu bizarre, un jour peut-être, un jour ils sauront, one day !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!...
Madloonflayed©-2024 - des tatouages plein l'esprit et tellement vierge de peau.

 Sons Of Anarchy's Final Scene Perfectly Mirrored Its Very First

vendredi 14 juin 2024

MERCI A TOUS


Je tiens à remercier au travers de ces quelques phrases tous ceux qui me
cassent les couilles depuis de nombreuses années, grâce à vous je suis
encore plus fort, plus con, plus méchant et surtout je ne vous supporte
plus !
Alors merci aux écolos qui avec leur débilité croissante détruisent
l'environnement mais se couvrent derrière leur idéologie irresponsable et
qui réussissent à capter l'attention d'encore plus cons qu'eux pour pondre
des lois, des arrêtés qui, pour nous les gens responsables et équilibrés du
cerveau, finissent par foutre une merde sans nom et détruire tous les
écosystèmes de la planète, et c'est grâce à vous bande d'enculés d'écolos
que les votes parlent !
Merci à tous les gauchiasses qui s'enlacent dans de la merde et qui
finissent dans des applaudissements à trouver ça tellement chouette d'être
cons et puants, qui veulent accueillir des terroristes, des violeurs, des
voleurs, des idiots sans cultures sans éducation, parce que ça fait bien
d'être solidaires, c'est dans l'air du temps, c'est trop fun d'être
tolérant, c'est complétement cons et irresponsables pour des gens censés
comme moi mais au moins ils ont l'impression d'être modernes, je souhaite
juste que leurs gamins ou gamines se fassent égorger ou violer à la gare
devant tous les autres gauchiasses comme eux avec leur iphone à la main en
train de filmer, des fois que ça rapporte quelques j'aime sur la toile,
alors merci à eux aussi ces débiles neuroinsuffisants car grâce à vous les
votes parlent !
Merci aussi à tous les perturbés qui lèchent les couilles des gauchiasses
mais qui par peur d'être cataloguer fachos continuer à bien sucer des
mélenchonistes dans les bureaux de votes et qui lèvent presque le bras
droit bien droit dans leurs chiottes mais oufff ça ne se voit pas, grâce à
vous les votes parlent !
Merci à tous les ieles et cie qui dès l'âge de dix ans se font couper les
couilles ou pousser des miches de rat et qui finissent par se suicider à
vingt cinq ans par manque d'identité et d'idée, qui ne savent même plus
s'ils sont des arbres ou des humains, une lampe ou un frigo, qui tombent
amoureux d'un mur ou d'une clôture électrique, et qui me cassent les
couilles parce que je ne les comprends pas, grâce à vous les votes parlent
!
Merci à toutes les minorités qui ne veulent plus être des minorités et qui
par leur connerie de vouloir affirmer leur minorité finissent par montrer
au monde entier qu'ils sont des minorités et s'enfoncent de plus en plus
vers l'indifférence ou le dégout des gens, ces minorités, qui à mon époque
car ouai je suis un produit des années 80, n'étaient pas cataloguées comme
des minorités mais comme l'ensemble de la population, un homosexuel était
un homosexuel et point barre, un noir était un noir et point barre, et cela
ne faisait aucune différence quand je les côtoyais, quand on faisait la
fête ensemble, quand nous vivions simplement ensemble tous les jours du
début de l'enfance jusqu'à la mort, maintenant il faut afficher sa
différence, ils veulent que ça se sache, ils veulent qu'on les voit mais
pour des gens normaux comme moi qui ont grandi avec toutes ces différences,
je ne savais même plus qu'il existait une différence entre vous et moi,
alors continuez à bien montrer que vous ne voulez plus vivre parmi nous,
continuez à bien dire que vous êtes différents mais sachez que vous vous
enfoncez vers l'extinction de la tolérance, vous étiez déjà là et j'ai
grandi avec vous, j'ai des copains gays, j'ai des amis d'enfance noirs,
mais je ne n'avais jamais ressenti de différence avec moi, maintenant si !
Alors merci à vous aussi car grâce à vous les votes parlent !
Merci à toutes les féministes qui jouent avec des objets en bois d'acacia dans leurs délires les plus sombres la nuit et qui le jour levé se trimbalent les miches à l'air avec des peintures à la con dans les rues pour crier stop ! Stop quoi, je ne sais toujours pas, mais stop quoi ! Qui n'acceptent plus les regards des hommes sur leurs culs, qui ne supportent plus les hommes du tout d'ailleurs, finalement pourquoi on les appelle des féministes alors qu'elles ne sont plus du tout dans le monde des hommes, pour moi qui suis censé et amoureux de la cause féminine j'entends par là les vraies femmes qui aiment qu'on les regarde et qu'on leur dise qu'elles sont belles, car toutes les femmes sont belles, ces féministes sont juste une raclure de moitié bonhomme avec des couilles rentrées dans l'estomac mais qui les sortent dans les manifs de merde. Dans le pays de mes ancêtres, ne pas se retourner sur une femme est une insulte à son endroit. Alors je peux comprendre qu'il existe des communautés de merde avec des idées de merde qui datent de la préhistoire, tu sais les bougnoules qui insultent nos belles femmes en minijupe, alors oui ces débiles existent et servent à l'idéologie extrémiste des féministes, qui sont de gauche d'ailleurs, faut-il le préciser ? Alors merci à vous mesdames, ou connasses c'est le mot qui convient le mieux finalement, car grâce à vous les votes parlent !
Merci aux gouvernement actuel avec sa bande de décérébrés et de débiles mentaux et de leur patron hitlerien, qui nous pondent chaque jour que Dieu fait une nouvelle connerie qui nous fait plier et gueuler et mourir de faim, qui nous méprisent et nous chient dessus avec le sourire, d'ailleurs j'ai vu les résultats des élections, il existe encore des gens qui kiffent bien les goldenshower et les gifles de caca hein on dirait, hahahahahaha, car grâce à ce gouvernement d'enculés, et là pour le coup ce n'est même pas une insulte mdr, les votes ont parlé !!!
Alors merci à tous, merci à ceux qui se sont reconnus, merci à tous les débiles de cette pauvre france qui ne ressemble plus à rien, la preuve elle vient de perdre sa majuscule, les derniers résultats de ces élections sont le fruit de votre travail, de votre intolérance, de votre envie sournoise de nous faire crever, de nous ridiculiser, de nous rendre malade, de nous faire perdre l'envie de vivre, vous avez bien œuvré, vous avez tout foiré et maintenant bienvenus dans la prochaine ère qui j'espère va vous faire crever les uns derrière les autres et vite !
Madloonflayed©2024- j'avais encore tellement de dédicaces à formuler mais powww il est tard et je m'en vais regarder la mer !

 

samedi 18 mai 2024

DEPORTECHEUNE DEPORTAICHEUNE

 


J'imaginais dans un monde parallèle à la guerre en papouasie ou en russie, une camionnette genre un citroën jumpy défilant dans les rues de seine saint denis en gueulant une espèce de mobilisation générale en mode allez les gars faut y aller c'est la guerre on y va....je ne peux pas m'empècher d'hurler de rire en fait. Alors dans la camionnette il y aura deux ou trois chouècheman qui vont rentrer dedans en mode allez faut rigoler, mais....bah c'est tout quoi. Personne ne va aller faire une guerre, personne ne va suivre un truc genre la traque des juifs, genre les maquis, genre....mais putain je suis mort de rire, coucou c'est la guerre, en colonne couvrée...hop hé hop hé, gauche gauche, escadron halte....non mais sérieusement. La guerre se sera en mode wifimax quoi....qu'est-ce que tu veux mobiliser un pays où des gens s'en balec du pays....donc la guerre se sera chez moi, sur les marches de mon allée, juste devant chez moi, avec le pompe et la 22 en parallèle, deux cents cartouches de 12 et plus de milles en 22 et après on verra qui survivra, à la campagne j'ai déjà repéré quelques habitants et quelques bestioles à bouffer, quelques caves à dépouiller et sans résistance, la campagne c'est déjà ça depuis la nuit des temps, on s'observe et on sait qui mourra et qui vivra. Mais jamais nous ne subirons de rafles, jamais des types avec des casques et des habits de merde ne viendront nous chercher, jamais cela ne se passera comme cela, jamais nous ne serons obligés de faire partir nos enfants dans la forêt pour échapper à l'ennemi, c'est fini tout ça, demain la guerre, demain personne ne gagne, une boucherie à chaque étage des immeubles...alors c'est quoi...bah la seule solution c'est une bombe nucléaire sur nos gueules, sur leur gueule, faire péter les centrales, et surtout, oh oui surtout, traquer les fils de putes de gouvernants, et les tuer dans une barbarie sans nom, donne moi juste un attal ou un macron en temps de guerre, et je pense que mes instincts primaires vont jaillir de mes poings, de mes dents, une boucherie sans nom je te dis, je suis capable de les déchiqueter avec mes dents et même vivants. Alors la guerre demain ? viens chez moi j'habite chez une...moi !!!! Je ne sais pas pourquoi mais j'ai vraiment envie de tuer en ce moment, faut vraiment que ça explose toute cette tension à la con que ces connards nous promettent. Moi faut que je tue, alors c'est maintenant et ici, pas à kiev ou je ne sais où, ici et maintenant, dans mon allée de garage !!!!! welcome to paradise bande de cons.
Madloonflayed©2024-mouai bah j'ai le stock de munitions mais toujours pas de guerre en vue dans mon allée de garage, juste un pauvre con que je viens d'insulter parce que ses chiens me pètent les couilles....ils vont peut-être mourir en premier d'ailleurs, dommage collatéral....Peut être une image de 1 personne

samedi 27 avril 2024

LES MATHS..... SOUTERRAINES

 


Quoi de neuf Charles ???? L'Alexithymie, ou comment mettre un nom scientifique médical sur ma vie, maintenant. Cela plait ou ne plait pas, en fait à cinquante cinq balais je m'en fous. Cela devient dangereux, vais-je me faire renvoyer de mon job de merde, vais-je tuer quelqu'un qui me prendrait trop la tête, vais-je manger des scorpions ou des morts????? Alexithymie. C'est facile de mettre un nom sur ma réalité, sur ma tête, sur mon être. Les médecins, les analyses, les diagrammes sont formels...mais moi, moi dans ce truc, je suis qui ? Possibilité de troubles autistiques ? Pourquoi pas, je le sais depuis longtemps que je suis différent de la normalité, artiste quelques heures, débile quelques heures, amnésique quelques heures, ingénieur en mathématiques quelques heures, tueur en série quelques heures, teubé sans wi-fi quelques heures, analyste quelques heures, maitre du monde quelques heures, écrivain quelques heures et juste moi quelques minutes. Alors oui, je suis....quelque chose dans l'humanité virtuelle, réelle, à l'opposé des autres, je ne pense pas comme eux, je n'écris pas comme eux, je ne baise pas comme eux, je ne .... Alexithymie. Putain que la vie est belle! Changer de médecin pose parfois quelques problèmes de plus sur d'autre problème, le mien envisage de se suicider, jamais vu un patient pareil....avez-vous envisagé de voir un psy....un quoi ? euh non la dernière pleurait je ne sais plus pourquoi....Ouai ok j'ai pété une durite cette semaine, ouai ok j'ai insulté des gens, oui ok je n'ai plus de filtre, oui oui oui oui oui. J'ai un problème de reconnaissance faciale, qui c'est, quel grade, quelle fonction, quoi quel que qu'est-ce comment ...mais c'est terminé, je ne sais plus. Alors j'ai consulté et je n'aurai pas dû, parce que la réalité scientifique dépasse de loin mon âme, mon être, ma vie. Limite internable, limite justiciable, limite j'ai réussi à sortir du cabinet médical sans menottes. Un peu perdu sur le parking. Pourquoi j'ai insulté ces gens, pourquoi j'ai menacé ces gens, pourquoi ? Je suis entier, absorbé par les ondes, je navigue dans un univers parallèle qui n'est plus compatible avec le vôtre, je deviens moi, longtemps refoulé, le faux être disparait et ça vous fait chier. Quel bonheur !
Madloonflayed©2024- bon je ne sais pas si je vais me faire dégager de mon job mais au moins j'ai dit ce qu'il fallait dire, après ce n'est pas la mafia, mais moi je suis la mafia !

La mafia est-elle toujours omniprésente en Italie ? - Quora

mercredi 27 mars 2024

TIGROU EST ALLÉ ENCORE TROP LOIN


Contre toutes ces informations, je contre la flèche d'une contre utopique, triste pays, demain un combat pour devenir libre, mais de quelle guerre chante les morts ? Je ne sais plus si toutes les infos se sont enterrées au moment où elles ont atteint mon comas, papa laisse moi libre. J'irai loin, j'irai aimer les oiseaux qui chient sur ma tombe, j'y crois encore. Je crois à la mort tant que je respire encore. A force de suivre les zinfox, j'en suis à aimer la mort, juste parce que je respire encore. Avec ma fée on sait qu'on est rien, à absorber des trucs venus des vibes aliens, tous les deux à se prendre pour des gens importants à marcher au milieu des pigeons sur le chemin avec notre zimzim, un jeu sans tunes, ma fée sait qu'elle vivra encore plus loin, pour mon corps c'est beaucoup plus aléatoire. Se promener encore un peu. Ce champignon dans la nuit. C'est beau mais c'est tant pis. Juste quelques photos que l'on verra sur les libessss d'un infini sans fin, tu sais les visions à la gueule des métros, les yeux éteints, une photo pour l'éternité, quelques tiktok de merde dans un cnews F éné, pour les squelettes car nous ne serons plus là pour regarder et vibrer et s'énerver. Tout finira comme mon âme, loin, sans lumière, sans espoir, dans un bruit sourd et des vagues au delà des cœurs, emportant mes souvenirs et ma vie. Juste mortel ! Je suis juste mortel, avec une mémoire d'un triste, que restera-t-il de moi quand les bombes viendront nous lécher le cul dans la nuit, quand mes champignons hallucinooooosssseee éclaireront le ciel dans une odeur d'un adieu, putain je n'en peux plus, vivement finalement. Cela fera de belles photos car nous en retrouvons des pires gloires des pertes de vies d'ailleurs, d'une autre vie, c'était qui déjà sur les photos hein ?!!! Tu sais ceux qui pleurent et qui crient quand les pluies d'acide les pulvérisent sans voix, juste des images sans son. Ces enfants qui courent à moitié nus, leur corps dans des nuages sans odeurs et leur peau qui fond....tu y crois encore que l'on peut vivre d'amour ? Il y a trop de sang dans les rivières, il y a quoi après ? Je doute ! Est-ce que ce sont mes derniers mots pochés sur des feuilles ? J'en doute, quoique ! Journaliste de guerre, humoriste de l'horreur, conteur de fables morbides, découpeur de cadavres, magasinier de l’extrême violence, à commander des armes et des balles, ou des cercueils. Je serais bien sans moi. Écrivain de la mort, à force d'en coucher des lignes par milliers, je serais cela. J'y crois pas. Mon cancer sera-t-il plus fort que la bombe ? J'espère mais je n'y crois pas. Je vous entends crier et ça m’empêche de dormir, comment je peux me reposer dans ce cimetière ? Empathie, putain de maladie, ouai j'en suis en enfer ! Toujours! Je bois encore du mauvais vin, sans merci, pour l'amour des dieux. Je regarde des poseurs de bombes, des kalachnikovers qui ressemblent à l'espoir de leur paradis avec des gonzesses à poils par milliers, dieux est en nous. Des tranchées....mais ça n'existe plus, juste des putes en gilets pare-balles rue Saint-Jean avec des feux d'artifices contre des commissariats, ils vont tous brûler. Je vais pisser sur vos tombes. Y chier s'il le faut. Je suis d’extrême côté de ceux qui courent après les chats pour les bouffer, quoique je n'ai jamais tué de chats, ou alors il ne sentait pas bon. Faut faire tomber la tour Eiffel, rien à foutre ça me fera de la ferraille pour mes prochains projets, loin des overdoses des médailles des jeux olympipipipipiques, à la santé des peuples noyés dans la Seine en nageant en pleurant les odeurs des éboueurs. Je m'éparpille juste parce que je prends un peu de cocaïne, magasinier qui prends de la poudre. Tu crois que c'est cher mais pas plus que ta sortie dans tes délires de bouffe, moi je prends, je sniffe, ola. Te voilà choqué, pauvre vie que tu as. Je suis loin , tu crois quoi, que le barbu avec sa sale gueule de bois boit du coca ? hahahahahahahahahahahahahahahahahaha. Allez demain la guerre, je suis loin au-dessus de ça, sniffe avec moi et on ira !
Madloonflayed©2024- c'est triste mais LES DROGUES.....

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lundi 11 mars 2024

JE SUIS LA VARIABLE

 


Depuis l'âge de neuf ans, j'ai toujours tout calculé, anticipé, pour finir que cela devienne une passion pour les mathématiques, les chiffres mais surtout les problèmes et leur putain de solution. J'ai toujours adoré ça sans jamais en être parmi les premiers, parce que je prends mon temps, parce que quand la solution est trop évidente ça me fait chier et je m'ennuie. Je gère ma vie depuis comme cela, à me torturer l'esprit pendant des mois, des années, alors que j'ai la solution. J'en rajoute, des x, des y, des omégas. Mais depuis quelques années je m'interroge, mais j'ai surtout tellement d'inconnues que l'équation en devient illisible, incompréhensible, alors que je sais faire, il suffit de supprimer les lettres en trop, qui n'ont rien à faire dans l'équation et que je me suis amusé à ajouter, pour rien, ou pour me faire souffrir peut-être et surtout quand même. Pour me faire douter c'est certain. Parce que encore une fois c'était trop facile. Et là j'ai un beau problème, magnifique, avec ce qu'il faut d'inconnues pour en faire des pages de calculs, j'en ajoute encore un peu parce que à peine posé le problème que j'avais la solution. Pas grave, j'en ai ajouté, juste pour le suspens, juste pour avoir quelques années de plus à devenir fou. Mais quand toutes ces équations commencent à faire du mal autour de moi, je pense qu'il est temps de prendre l'ardoise et de poser clairement les lignes de calculs, à la limite jeter l'éponge et la craie pour prendre un marqueur bien indélébile. Parce que je sens que ça patine, que je sillonne en rond et là, ça va trop vite, beaucoup trop vite, je reviens trop vite au moment où je pose l'égal, où je sais que j'ai la solution mais... encore quelques inconnues, le faut-il ? La solution peut résoudre tellement de problèmes posés chaque année, en pile, les uns sur les autres, je peux tout faire tomber d'un coup. Mais ce n'est pas sans conséquences. Il faut apprendre à n'en avoir rien à foutre. Je n'en ai plus rien à foutre car je sais que les conséquences seront moins importantes que la solution, maintenant je le sais, hier je ne le savais pas, à neuf ans je ne pouvais pas le savoir. A cinquante cinq et quelques problèmes plus loin, cela devient carrément une évidence. Tout mon entourage en souffre, en silence, surtout sans le savoir, car ils n'ont jamais posé tous ces calculs, ils vivent leur vie, mais en souffrance, avec le manque de solution. Ce moteur de l'intelligence qui se trouve derrière l'égal, à quelques variables près, est tellement simple. La seule variable à faire sauter, c'est la résistance, et je suis fatigué de résister. J'ai la solution mais je ne peux pas la poser vivant, parce que certaines variables résistent contre moi. Je sais exactement le résultat derrière cet égal, sans un si et seulement si, mais vraiment sans si, un vrai résultat après de nombreuses années de calculs, la solution aux problèmes de mes proches, si je me fais sauter la variable avec un peu de courage j'ai le chiffre derrière l'égal ! Et le plus kiffant dans ce résultat, c'est que je le connais depuis presque quarante ans quand je m'éclatais les phalanges contre les murs...
Madloonflayed©-2024- Ce soir j'étais prêt, j'ai juste eu peur du bruit.
 
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vendredi 8 mars 2024

JE N'AI MÊME PAS DE TITRE

 https://www.parismuseescollections.paris.fr/sites/default/files/styles/pm_notice/public/atoms/images/LEC/aze_mlm2002.789.1_001.jpg?itok=Z_zenNV4


Ne reste t-il que la lumière des Iphone pour éclairer les bunkers ? Hier le nez bouché, demain une balle en pleine tête à l'orée d'une frontière inconnue, et entre tout ça, que reste-t-il de l'amour, que reste-t-il de nos efforts à survivre ? Libérez nos prisonniers et lâchez les sur ce front de la débilité, ça nous permettra de nettoyer les cellules et y mettre un coup de peinture blanche sur les murs, faites signer des pactes de loyauté aux itinérants en France en les envoyant à côté des délinquants juste pour savoir jusqu'où ils aiment nos tripailles et nos bords de mer, envoyez les ouimacronistes avec une cuillère à café combattre les vodkalisés, tu as voté alors tu vas y aller, c'est le tien. J'ai coupé le son ohhhhhh ! Mais je ne remets pas le son, la splendeur de nos futures nuits d'été, une musique en fond de cathédrale, le vin le long de tes reins, le rire de nos enfants, les secondes les minutes à aimer tous nos êtres, il suffit de couper le son pour y retourner, pour jouer avec les lapins de nos grand-parents, pour savoir si tu aimes le beurre juste avec des fleurs, embrasser la jolie fille de ta classe de cm1, réciter des poésies apprises la veille devant ta maîtresse émerveillée, chanter dans ta chambre avec tes parents derrière la porte éclatés de rire, fumer du bois fumant en toussant...et demain placer une cartouche dans un fusil. Je ne suis plus là, je suis loin, loin devant et surtout loin derrière, je n'ai rien entendu et rien retenu. Je ne vois pas l'infini dans cette mort annoncée. Pour juste ajouter des phrases dans une fausse histoire où tu verras le yacht en image sur la couverture des bouquins d'histoire mal écrits qui finiront dans des zep déchirés par de petits connards décérébrés dont leurs parents voilés n'auront jamais fait cette guerre, non merci. Les tranchées ne reviendront pas, personne ne pourrait tenir. Au pire nous irons sur les routes dans nos panzers gavés d'essence dans les coffres et trois sandwiches au poulet juste avant de mourir sans avoir à rendre les armes. Je préfère baiser des putes rue de Strasbourg que de lever mon majeur devant leurs yeux en criant et courant affamé. La guerre ? C'était ça le sujet Madloonflayed ? Appelle-moi Emmanuel Mini ce soir, tatoué dans mon cerveau, un grand-père héro mort maintenant noyé par un mal au cerveau. Ne reste-t-il que des Iphone pour éclairer tous ses bunkers et son histoire ? Ne me demande plus de pleurer, je vais finir noyé. Regarde tout ce qui t'entoure, regarde ton chat, ton chien, et dis moi ce que tu vas laisser, à la limite je vais laisser ma cocaïne planquée sous mes t-shirts dans ma penderie. Je ne vais pas bouger d'ici, je vais tout prendre et résister, la vue sur la mer, ils n'arriveront pas par bateaux. Je vais profiter de ce week-end pour enterrer les juifs morts pour je ne sais pas pourquoi, je vais enterrer les noirs morts dans les champs de coton, je vais népaliser les princes des contre-libertés, les politiques, l'argent. C'est triste tout ça. Je vais enterrer ma vie et remplir mes veines de toxines parce qu'il faut partir en jet au fond de mon 7ème sous-sol, je suis une star qui ne touchera jamais la gloire et pourtant qu'est-ce que je prends comme drogue... ha ha ha.
Madloonflayed©2024 - ce texte est juste auto-censuré par moi-même l'auteur, la grande version non censurée a été publiée sur mon blog pendant 7 minutes puis supprimée par le même auteur.....j'ai les flics à mes trousses mais je vais trop vite...bienvenus dans ma liberté d'expression, je ne lâche pas mais je n'ai pas les mêmes avocats que Charlie...fuck la peur mais avec un point rouge au milieu de la tête quand même ! PUTAIN !

samedi 17 février 2024

CHECK ONE CHECK TWO CHECK CHECK ONE TWO


Tu t’énerves tous les jours, tu critiques tous les jours, tu montres du doigt tous les jours. Il y a quelques années j’y ai cru, je me suis dit ça y est, nous y sommes, nous avons survécu. Bien joué. C’était il y a plus de 20 ans, ou hier, ou demain. Quel con j’étais ou que je suis. Je n’avais pas encore entendu ni vu tous ces clowns, ces monstres qui arrivaient se bousculant les uns derrière les autres en souriant. Tous suspendus au dessus du vide sautant les uns derrières les autres, se posant par chance sur un palier et en regardant les autres en se disant que l'on a eu un cul énorme de se poser là, et puis on se bouscule, ce coin est à moi pas à toi, essaie de comprendre, ma terre n'est pas ta terre, d'un coup de latte tu te fais éjecter dans le vide et tu regardes l'autre palier, peut-être que tu vas y arriver....non pas encore celui-là. Tout ce cirque est de ta faute, l’argent, les riches, l'autre con de président, les manifestations, la moindre chose est de ta faute. Tout ce qui a mal tourné est de ta faute. Chacun de nous est responsable de ce qui se passe dans le monde, les incendies au Chili, Trump, les guerres. On passe notre temps à mettre tout sur le dos des autres. On fait le procès de l’Europe, on pointe l’opposition, on dénonce la météo, on se prétend les victimes des différents évènements que nous inflige l’histoire comme s'ils étaient hors de contrôle, comme si nous étions tous démunis fragiles tous petits mais ça reste toujours notre faute. Et tu sais pourquoi ? Parce que la belle vie n'est pas pour toi Mimoune, pas pour moi. Et ça nous va bien, petits et tous fébriles, nous tous participons à ce système tout au long de notre vie. Tout a merdé quand dans les supermarchés j’ai vu toutes les caissières remplacées par des caisses automatiques et personne n’a rien fait contre ça. Tu as écris pour te plaindre ? Non ! Tu as râlé puis un peu rouspété et tu as fait avec. Et je pense que nous aimons ces caisses automatiques, c’est tout ce que nous voulons, on peut flâner dans les rayons et acheter ce qui nous plait et nous n’avons plus à affronter le regard de la caissière qui gagne probablement moins que nous. Elle a disparu, on s’en est débarrassé. Virée. Bien joué. Alors oui c’est de notre faute. C’est le monde que nous avons bâti. Félicitations. Santé à tous ! Et encore on n'a pas tout bu. Demain l'IA, les branlettes automatiques, et les hibous la tête à 389° délirants sur tes applications. Je marche dans les rues sans regarder les clochards en Gucci sur le trottoir, je ne veux plus rien comprendre, je ne veux pas m'arrêter, le regard vide. La violence, la mort et je t'emmerde. J'ai quelques bidons d'acide, on verra bien à quoi ça sert.
Madloonflayed©-2024-Peut être une image de 1 personne

 

vendredi 9 février 2024

LA MOUCHE ASSASSINE LES CŒURS ET LES YEUX


j'ai fermé les yeux, la route était comptée, accrochée comme une pute sur un trottoir, pour oublier, l'eau est belle ce matin, sur un parebrise j'oublie le gout étrange de la couleur noire avec pour fond un horizon, je me retrouve ce matin à peine évanouie, à quinze kilomètres de mon univers, je suis une mouche dans l'hiver du froid et très levant. Des feux de paille en espérant que j'éjecte. Je vole au dessus du goudron, mais je me taille des feux de paille et des pavés. Ce nouveau siècle. Je suis un esprit perdu comme un pantin avec des genoux abîmés par manque de ficelles, toujours trop courtes pour m'élever toujours plus haut. Le ciel est assommé, les soldats sont fatigués, je vole le long du mur au son des cloches, plus rien à boire juste quelques gouttes qui glissent du pare-brise. Je suis partie trop loin, il faut que j'ouvre les yeux, je suis une mouche. La ville résonne, des fous, la mort sur le bord des trottoirs, des jeunes des vieux, les yeux brillent devant les vitrines blindées, crève moi les yeux, je vole devant mon âme. Je suis une mouche dans le bleu infini, j'attrape la nuit, je joue dans une vie de lumière dans une force infinie je cherche mon chemin, la chaleur!!! Je suis un vampire, juste une mouche. Le ciel m'attendait. Le mistral me dit va plus haut, oublie le ciel, oublie la mort. Je vole entre les rêves et quelques secrets, à l'autre bout des autres, ceux qui ont les yeux pris comme des feux qui nous proposent de mourir pour deux mille euros. Je vole entre les vents, ça me fatigue, je ne suis qu'une putain de mouche qui peut finir sur une île ou dans une cité en feu, la mort ou des sanglots. Je suis vieille et je ne vole plus très bien, je fouille dans le passé, le présent est juste après demain. Les jours maintenant s'achètent au prix d'un un peu plus loin, ça ira mieux demain. Plus cher mais beaucoup plus loin, ça ou de la merde.... C'est un monde dans mon monde. Je vole et je suis une putain de sorcière, une mouche qui danse. Je n'ai jamais voulu être là sans mes parents sans mes enfants, encore encore encore. A voir de près j'ai juste envie de vous dire d'aller vous faire foutre. J'ai quand même le droit d'oublier de me dire que je suis une mouche née au milieu de la foudre. Née au milieu d'un asile. Allez...
Madloonflayed©2024- Il n'y a plus de saison, juste moi, la mouche et quelques histoires, juste une pauvre mouche accrochée au parebrise du panzer, mémoire, juste un texte et moi au volant d'une route sans histoire et pourtant, la mouche est partie dans un tourbillon de vent à plus de cent et j'ai écrit ce texte en sortant sans sortir de ma petite vie, toujours en espérant être loin de moi et de mes ombres, fuir sans jamais savoir où être....mes expériences quoi. Je suis toujours très loin mais à chaque fois revenu.
Là c'est mon côté gaucho, je dédie ce texte à tous les itinérants de la Terre, s'accrocher et lâcher prise quand on croit que toutes les planètes sont alignées, pour finir comme des cons sur un trottoir à moitié crevé et tout le Monde s'en branle !!! Triste vie, j'ai mal, encore pris de panique, empathique encore et encore.

 Migrant, demandeur d'asile, réfugié: les mots de la migration

dimanche 10 décembre 2023

DANS LES CAMPAGNES


Ils ont déjoué un attentat de ouf dans nos campagnes du côté de Brest, ces enculés de bougnoules voulaient attaquer un village de deux cent dix âmes en pleine nuit et tuer tous les habitants....et ????? oula heureusement que les enquêteurs spéciaux des renseignements généraux étaient à l'affût, les mêmes qui étaient connectés le jour de l'horreur...tu te rappelles le Bataclan, tous les indicateurs étaient au rouge....cent trente morts et quelques et personne n'a bougé une oreille. Ces enculés. Je promenais mon zimzim cet aprem et je me demandais si je tirerais avec le fusil à pompe ou si je prendrais la 22 long rife.... j'ai maintenant vraiment envie que ça explose, j'ai vraiment envie de tuer , j'ai vraiment envie de tuer tous ces enculés en fait, tirer sur des cartons ne me suffit plus, il me faut une vraie guerre. Et en même temps j'ai dessiné des bateaux en bois avec des voiles en ferraille et je me demandais s'il fallait que je soude la voile sur le mat ou s'il fallait que le tout soit indépendant avec des fils de fer...et puis je me suis demandé aussi si les ampes de Méduza devaient faire trente centimètres ou juste vingt cinq. Et je suis allé promener mon zimzim dans la campagne profonde lorraine, sous la pluie et le vent...avec un couteau dans la poche au cas où. Et en fait je paie le litre de gazole deux euros, le foie gras pour Noël a triplé en euros, mon vin de merde en cubi a pris trois euros et j'ai juste envie de tuer l'autre guignol, tu sais l'espèce de merde pour qui tu as voté, espèce d'ordure que tu es. Après il y a aussi les fils de putes qui ont votés mélenchon, ceux là je vais les tuer aussi, quand il y aura la guerre, la guerre qu'ils auront voulu, mais avec des petites subtilités, attachés à un arbre dans une forêt, quelques brindilles au pied, et quelques litres d'essence à deux euros, et un putain de zippo et floufffff oh putain quel bonheur. J'en suis là mec, j'en suis à rêver du chaos, j'en suis à me demander quel couteau je vais utiliser quand j'en aurai chopé un, quelle partie de son corps je vais découper, quels vont être ses cris, vais-je les enregistrer, en faire un disque que je mixerai en deux mille vingt cinq, vais-je lui arracher les dents à la pince coupante, je me rappelle quand je brûlais les limaces quand je leur recouvrais le corps de colle en tube et que j'y mettais le feu, j'ai envie, franchement j'ai envie. Je suis posé, dans mon 7ème sous-sol, j'y fais des trucs de dingue, j'y écoute de la musique, j'ai vraiment envie....vraiment. Et deuxeeee mille vingt quatre et des poussières m'annonce une inflation sur les bougies, devant les écoles, devant les cafés, devant les bus, devant les supermarchés, devant les administrations, devant les hôpitaux, devant ton sapin de Noël, devant ta liberté, devant ta vie. Tellement de bougies, faut-il en produire plus, pénurie, grosse panique dans les hypers, il nous faut des bougies bordel, plein de bougies, trop de morts et trop de murs sans bougies, produisons, macron demande que les forces disponibles pour produire des bougies soient mobilisées....vite. Je suis assis en haut de mes escaliers, comme tous les jours, dans le froid, sous la pluie, le pompe sur l'épaule et j'attends, j'attends la prochaine guerre, médaille de bronze de la défense nationale pour la guerre intitulée tempête du desert sur mon perfecto, j'attends mon pote, j'attends....fêtez bien Noël, bouffez tous comme des porcs, gavez vous....la terreur est aux portes de deuxeeee mille vingt quatre, une petite panne de courant et la flamme......tu n'es pas prêt, tu torches le cul de ton gosse, tu bouffes du poulet bio, mais tu n'es vraiment pas prêt, moi......si.....
Madloonflayed©2023- pourquoi attendre, un deux trois ....soleil !
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vendredi 1 décembre 2023

MON ENVERS EST A L'ENDROIT

 


Et j'écoute, et je vois et plus je comprends, et plus je vois le monde avec tous ces teubés sans wifi permanent, j'ai construis mon monde à l'envers, parce que les gens disaient de moi que j'étais différent, à l'envers du monde, j'ai tout fait avec cette maladie d'être à l'envers et maintenant je regarde ce monde, ce monde que plus personne ne voit, ce monde qui se devait être à l'endroit puisque j'étais à l'envers mais je vois bien que mon envers est à l'endroit dans ce monde de travers. Je suis bien perpendiculaire à vos vies, mais moi en verticale avec le sang qui va de la tête aux pieds tu vois, pas comme vous. Toutes ces années à croire que j'étais un dingue, complétement tordu, mais c'est la forme que vous m'aviez donnée, moi ça va, ça vaaaaa ! Je vais rester dans les standards de la communauté, ça m'arrange, ça m'évite de finir à Fleury avec des violeurs de mouches, ça m'évite de me faire enculer avec les fragiles, tu sais l'ultra gauche. Ah je comprends, tu ne sais pas qui ils sont parce que Massmerdiasse n'en parle pas, l'ultra gauche c'est toi qui vote mélenconnard, donc c'est normal, du coup comme je suis à l'envers, je suis d'ultra droite, le stylo bille à l'encre noire. Je suis dans les notes de mon cahier, je répertorie tout ce que je vais perdre, mon canapé en cuir à dix mille euros, ma télé à mille cinq cent, le canapé de mon zimzim à cent cinquante, mon congél rempli de bouffe, mon frigo, ma bagnole, mes outils, mes dernières créations, mon zimzim, ma pelouse, mon ptit cubi du vendredi, mes promenades le long du canal de l'Est, mon gel douche, mon eau chaude, mon thé aux agrumes...tout est noté, je vais tout perdre à cause de toi, le gaucho. Vais-je me battre pour ce pays ? Non, je vais tirer, me défendre, oui. Je pense à toi petite merde de mélenchoniste tout fragile iéliste non genré quand ta porte d'entrée va voler en éclats et que les monstres qui tuent Thomas vont se retrouver dans ton entrée de ta petite maison de ville tout juste rénovée, quand il vont te choper tout tremblotant dans ta cave alors que tu viens d'abandonner ta femme et ton gosse juste pour sauver ta petite gueule de gaucho, tu leur diras mais moi j'ai voté à gauche pour vous défendre, ils te choperont par les couilles et te monteront à l'étage et t'attacheront à une chaise et tu regarderas ta femme se faire violer dans une barbarie sans nom, ils la laisseront la gorge tranchée sur le sol quand ils iront chercher ton gamin planqué sous son lit en larmes terrorisé par ta lâcheté, ils le descendront devant tes yeux et le pendront à la lampe de la cuisine, devant tes yeux, et ils l'égorgeront lentement et tu regarderas ton bulletin de vote tomber dans l'urne un avril 2022...avant de t'évanouir, ils te couperont les couilles que tu n'as jamais eues et te laisseront crever les yeux grands ouverts devant ta femme et ton gosse torturés à cause de ta lâcheté. Pendant ce temps là, je serais derrière mes fenêtres avec les armes et j'attendrais, je sauverais ma femme et mon minot bien planqués dans quelques sous-sols, aléatoires, comme mes tirs quand les feuilles bougeront. Je ne défendrai jamais ce pays qui n'est plus le mien, je vais sauver ma peau. Je veux encore rêver, croire en d'autre temps quand j'étais en short et que les foins irritaient ma peau et mes sinus, je veux revoir la mer, je veux passer l'hiver au chaud avec de l'électricité, je veux me coincer dans mon canapé à dix mille euros avec un plaid lalou, je ne veux plus savoir si des gens crèvent dans des guerres inutiles, je veux que le vingt heures me montre comment tailler mes poiriers avant les gelées, je veux encore rire, boire, m'amuser, découvrir, apprendre, créer, écrire, dormir...je veux juste dormir maintenant, juste dormir sans trembler, sans écouter tous les bruits, je veux que toute notre planète avec les gens dessus puisse s'apaiser, je veux la paix, je veux juste....(désolé je ne peux pas l'écrire sinon c'est Fleury avec une savonnette qui glisse...)
Madloonflayed©-2023- je préfère quand je suis à l'envers, mon monde intérieur est bien meilleur que le tien tu sais...Peut être une image de 1 personne, saut en parachute et nuage

samedi 25 novembre 2023

SAUTER A L’ELASTIQUE


Histoire de.....Alors ok je suis une erreur de Dieu, oh, au fond des criques, tes pensées, je sais c'est tragique quand on épelle ma peau, je prends les trains à travers la plaine, merci Bashung. Je défonce les portes parce que je ne t'aime plus, mais je suis foncedé, dans les cœurs, dans les soirées, j'ai envie de gerber sur ton string gucci, consommables, je suis juste le fils de mère nature, une aiguille dans mon bras au fond des manifs quand ça sent ma vie de merde sous le soleil. Allez j'ai bu une grosse dose de religions, japonaise ou marocaine, je me suis perdu encore, sans frontières, vas-y je t'emmerde avec ma gueule de gestapo, c'est marche ou crève, macron c'est de la zik trop forte pour les zoreilles des moitiés de chiens russes qui crèvent sur les bords du métro. J'ai revendu quelques dollars quand je me suis fait enculer, surtout quand je croyais que je téléradiolisais ma lame d'espoir, tu sais quand je suce la bite des médias qui prolongent ma vie de caniveaux. Inutile, une espèce de teubé, vas-y like mes followers, like ma vie de bidonville, une petite pute. Tu l'as vu cette planète qui crève, bah même pas, tu as tout perdu, les pluies arides, quand ce peuple noir pleure les sorts qu'ils ont jetés dans le sable, prisonniers. Putain. Des guerres maudites qui plongent nos yeux qui ne voient plus, dans des tombes qui ne sont pas encore creusées, Emmanuel, Raphaël, David, qui dans nos cœurs est capable de défier l'irréel, une guerre où ma vie et celle des juifs du monde, ceux qui pensent, ceux qui se sont perdus dans ce vide immense, ce soleil au couleur du sang, une prose dans le cœur des batailles, palestiniens, mes yeux se creusent, trop de douleurs, trop fragile, il parait que je suis............j'ai le cœur.....trop gros.... Je console mes braises. Du bruit, encore, des gilets qui brûlent encore à chaque rond point, la mort des utopiques. Je vis tous les jours au bord du précipice, je meurs et je vis avec quelques grammes de cocaïne. Quand tu auras compris que tu es juste un connard qui se branle sur les trente vierges, tu quitteras mon pays avec les nasos poudrés, ohlalala ohlala, vue sur la mer, ton bateau t'attends avec le champagne que tu ne boiras pas, vas-y mon coq te tend un doigt bien haut, bien fachiste au regard des gens qui ne sont pas comme moi, tu sais ceux qui manifestent dans les rues en votant mélenchon, un putain de quotidien de fachistes de gauche, des morts vivants, des putains d'explosifs au coeur des villes, sous surveillance des satellites, tous dépressifs, le jour sous tranquillisant. Extasieeeeeeeeeeeeeeeeeeeee. L'alcool et les joints ne me font plus rien. J'ai froid malgré les flammes. J'arrête car je....
Madloonflayed©- 2023- Il ya une époque.........

 Le saut à l'élastique est-il un sport? Et si oui, comment le réussir du  premier coup... | Slate.fr

vendredi 24 novembre 2023

TRISOMIQUE 27

 


Tu te rappelles papa quand j'ai pris sept points de sutures juste parce que j'étais sur des structures de folies en métal, j'avais six ans, un Qi d'astronaute dans une ville, dans une cité, dans un ghetto, dans une école de futurs ingénieurs, de chefs d'état ou d'astrophysiciens, de chimistes ou de chercheurs à la Nasa, ou de directeur artistique, mais moi j'avais choisi de grimper la structure en forme d'araignée à l'envers...sauf qu'une fois arrivé au centre de la structure, à plus de deux mètres cinquante du sol, je ne pouvais ni faire marche arrière, ni avancer.....mon esprit a décidé de lâcher prise et de tomber, il arrivera ce qu'il arrivera, mon éducation était de faire de moi un guerrier, pas une tafiolle...je suis tombé de presque trois mètres sur la tronche, du sang partout, des enfants exfiltrés de l'aire de jeux, et moi aux urgences avec la gueule en vrac et au final sept points de sutures au menton. Des guerriers. Je suis la génération des guerriers.Tu te rappelles papa quand j'ai pris le mauvais bus et que j'ai parcouru presque quinze kilomètres dans le mauvais sens pour rentrer chez nous....tu avais appelé la gendarmerie parce que tu ne me trouvais plus, c'est un taxi qui m'a ramené chez nous, quatre voitures de patrouilles, cinq chiens, dix gendarmes et moi du côté de Flavigny à pieds, complétement paumé, juste surprotégé par mon papa, mais qui à ce moment là a perdu pied....Tu te rappelles papa quand je suis rentré bourré en sortant du train qui reliait Nancy à Talange ou Talange à Nancy, que je ne t'ai même pas reconnu, j'avais au moins sept grammes, dix pétards dans la tronche...mais rappelles toi, c'est toi qui a voulu que je fréquente cette école, c'est toi qui m'a emmené le premier jour, c'est toi qui a fait de moi ce que je suis maintenant, un artiste dans un corps de prolo, un QI d'astrophysicien au service d'une entreprise de merde, au service de cartons à ranger sur des étagères, un QI de mathématicien au service de rien, un QI de virtuose au service d'une guitare débranchée, un QI de chercheur au service d'Amazon, un QI d'artiste au service de quelques merdes qui traînent dans l'ex chambre de mon minot, un QI d'écrivain au service de quelques textes débiles d'ado attardé. Tu te rappelles papa ? Bah non, ma maman, mon papa, ne m'appellent même pas par mon prénom, ils se trompent des fois....vas comprendre. Ils m'inventent une vie que je n'ai pas eu, des amis que je ne connais pas, des histoires que je n'ai pas vécues, jusqu'à ne pas savoir que je crée des objets, que j'écris aussi...tu te rappelles papa que pépère était mon meilleur docteur? Ton père, papa, savait mieux que le docteur Décilleul pourquoi je tombais sur le sol les yeux à l'envers, ton père, papa, savait comment faire pour me calmer, ton père, papa, m'a tout appris. Mes cauchemars avec des oreillers qui fonçaient sur moi, des années de psychothérapie, des années avec un cheveu sur la langue, une journée avec pépère, à regarder les oies, à couper des bouts de bois, à assembler des pinces à linge pour en faire des chaises, des tables, des maisons de poupées pour ma cousine, à flipper pour aller chercher les oeufs dans le poulailler, à décapiter une oie, à niquer les couilles des lapins avec un élastique, à caresser les bébés lapins, à caresser les oreilles de Balou, à.....comprendre que mon grand-père savait que j'avais le QI d'un dictateur de bonheur. J'ai tout perdu papa, parce que personne n'a rien vu, personne n'a rien vu, personne n'a rien vu, sauf ma fée, qui au bout de quelques années de vie avec moi, a compris, que seul l'être qui vit en moi, seul ce morceau de moi que personne ne peut voir, est capable du pire, jusqu'à essayer de mourir sans y parvenir, parce que mourir reste la seule solution à toute cette ignorance, partir sans être reconnu, partir avec quelques mots sur des bouts de papier sur mon cercueil : à Manu, le magasinier... Par manque de couilles je vais partir comme ça, bientôt...Tu te rappelles papa......
Madloonflayed©2023- Je me rappelle de tout...fils !Peut être une image de 1 personne, enfant et trampoline

lundi 13 novembre 2023

MINABLE MAIS FORMIDABLE


Un poisson rouge c'est toute mon histoire, enfin celle que personne ne comprend. Bonjour, ah bonjour. Une vie de sécurité sociale, sans sécurité sociale, c'est pas la faute à Gérard. Gérard ce n'est pas un salaud, il vote, il s'invente un monde où il pourrait promener son Berger Allemand sans être obligé de lever le bras bien haut, il dit des gros mots quand ils croisent les bougnoules de la rue des Fillettes, il crache quand il chique son tabac, il habite un quartier de merde rue Ménand. C'est la même rue des Abrutis à Haussonville, Gérard c'est moi, et le berger Allemand c'est... On déboule tous les ans vers Quimper, on y voit que des connasses mais on s'en fout, ça change des grosses vaches de mon village. On y est et on rêve. Près de la mer, froide, on promène comme des beaufs avec des cirés jaunes sur la plage les pieds trempés, c'est beau, il pleut c'est le pied, il y a un vent à décorner... Il y a des beaux bateaux, de pécheurs qui ne péchent plus, des belles couleurs délavées, des phares. On ramasse des petits caillloux sur la plage que l'on met dans une verrine Bonne Maman qu'on jettera en juillet et on s'essuie le sable contre notre futale juste pour faire gueuler maman. On attend les feux d'artifices mais on est en juin alors du coup on attend et on baisse la tête en rentrant. On se fait chier, sérieux. C'est les vacances payées, bordel. On y voit des vieux avec des camping cars aussi chers qu'un appart à Saint Ginesse les Bretonneux, habillés comme des stars, ils marchent dans les crottes des poissons qui réfléchissent, bah ouai ils préfèrent chier ailleurs que dans leur entrée d'immeuble. Ils s'inventent des copains Ricardiens. Tiens toi, ça souffle. On regarde dans le vide, vers la mer, on croit devenir poête jusque quand l'autre à côté gueule comme une truie après son caniche. Une vie, debout, à dépenser la seule tune qu'on a pour bouffer un plat de moules avec des frites dégueulasses, en attendant l'hiver, notre vie à deux en plein été. On est frappé par notre existence en se disant ça peut exister un jour les jours heureux. Un jour sur deux au moins. On prend des photos qu'on ne regardera pas, il est tard chaque jour, elle bouquine des magasines sur la plage, je regarde vers la mer mais qu'est-ce que je vois ? Alors je mate les vieux, les grosses sur la plage, les cons de gosses qui chialent qu'on force à rentrer dans l'eau trop froide, mais j'en ai rien à foutre moi. Je veux du silence. Dans quelques jours on remonte et on fera signe à Gérard.
Madloonflayed©2023- J'ai un peutain d'nom de star piooowww.

 Peut être une image de 6 personnes et cygne