mercredi 4 mai 2016
J’AI BEAUCOUP FAIT POUR … QUE MA QUEUE RENTRE DANS LE VENTRE DES FILLES
Alors c’est ainsi que la mort qui prends le sein à la femme qui déchirée
se jette à l’univers sans merci. Sans déconner j’espère que tu n’as
pas oublié d’éteindre la gazinière ! Dieu c’est moi Emmanuel est en
vous, juste pour écrire la merde. Vas-y bouffe ton hamburger comme ta
première victoire, ta première pitié. Boire du vin !!!! Ne mélange pas
les amphètes avec les vendeurs de sourire. Il est trois heures
du mat, Dieu est avec toi quand t’es sous terre. Sous ta peau il y a
ce diable déguisé en un baiser du corps du Christ, moi je ne vis que
pour les putes !!!! Je me suis noyé ! T’aimes les chats et moi je
pleure, t’as payé la facture du gaz, et les orques à marineland en
dollars prix qui ne vaut rien sauf du hamac avec des putes sur la plage
de miami !!! Tes chaussettes jonchent le sol et toi tu vas surfer parmi
les dauphins espèce de sac de merde. Et la vaisselle ola ola ola . Zoo
marineland et les ours polaires, na na na na na juste pour rire. Et si
tu étais un chanteur de blues, un pull-over tricoté de liberté avec des
odeurs d’attentats, mais j’ai besoin de fortune je lèche les chattes
qui rampent à mes pieds ! Mes amis sont ceux qui … tous les matins….
Comme si tu entendais des criquets dans un soir d’été !!! oh oh oh !!
J’ai vomi ! Un artiste n’est qu’un homme je suis un artiste !!! Exact
!!! Toute cette herbe fumée ce soir…. J’ai atteint le point de
non-retour. Des drogues mêmes enfoncées dans mes veines ne changent pas
mon diable qui circule dans mon corps. Putain c’est l’enfer dans la
sciure. J’ai vomi. Des drogues. Vas-y bois l’eau du robinet, des drogues
! J’entends des bruits, des drogues, des criquets dans la nuit, des
drogues. J’ai allumé la lampe et envoyé une carte postale. J’ai bu trop
de bières allemandes. Je suis vide et je reflète mon extérieur, comme
il est gentil et bien servant ce Manu, sauf qui va te croquer dans ton
sommeil, cet enculé de Manu. Tu as de grandes jambes et lui les écarte
et t’enfile sans devoir. Marché de putes. Conceptualisation, la création
avec une balle en pleine tête. Piège à cons. J’ai baisé tant de femmes
mais jamais elles ne tiendront ma main, j’ai juste envie de me shooter
dans la nuit. Putain de blues. J’ai besoin d’amour mais j’ai tout foiré
avec l’alcool. J’ai cru que je pouvais mourir, je mourus.
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