1 ! 2 ! 3 ! Soleil !!! Bah enculé de soleil ouai, week end de folie, herbe qui pousse, oiseaux qui chantent, abeilles voleuses, chien qui boîte, homme qui souffre, femme qui gueule, soleil qui brûle, herbe qui pousse (bah oui deux fois elle pousse elle), balai qui brosse, cristaux de soude qui nique ma peau, alcool qui saoule, plantes qui hurlent, muscles qui flambent, sexe qui s’tend, poules qui meuglent, voitures de sport qui meuglent, chats qui meuglent, sexe qui meugle (bizarre ça mais bon), voisins qui voisinent, avions qui tracent le ciel, et moi qui me noie allongé sur le dos dans l’herbe humide. Les basses trop volatiles dans le ciel bleu azur. Putain de soleil, j’ai souffert, et toutes mes copines qui hurlaient de désire, une par une, je les ai prises et emmenées faire un tour de bleu, de giclettes elles buvaient. Ah les coquines ! Des jours des mois enterrés nous étions posés juste en bas dans mon 7ème sous-sol. De son soleil je n’en voulais pas, je suis trop faible. Dans une grosse colère les muscles en arrière, j’ai offert la lumière. Le soleil avec son putain de sourire m’a fait entrer dans le grand chantier du brûlage de peau, de muscles, jusqu’au dernier souffle, deux trois chardonnay en perfusion pour oublier les douleurs, syndrome de salam qui me nique les dernières neurones, Alfred Lyme qui me décline sous les larmes, 1 2 3 soleil en plein délire. Des abeilles par millier, allez dansez !!!! Une tranche de jambon deux trois haricots verts et de l’eau bénite et après deux virgule 7 prières le sang du Zésus caché dans une simple bouteille de bière, si j’avais su j’aurai cathéchisé plusieurs années à fuir le curé qui ne courait pas assez vite, servitude charité une brioche monsieur madame pour les aveugles qui ne voient pas et qui ne croient pas. 1 2 3 soleil ! Lundi !!! Aïe ! Higelin est parti. Salut sans risque. Ha ha et ils parlent de retraite et d’acquis sociaux en Afrique sur des rails rouillés avec des pancartes orange fluo alors pas étonnant qu’il se soit barré chez Perpét. Allume un pétard j’arrive. Méfiance au DLU, sur la route, si la peur fait bouger elle fait rarement avancer, putain ma phrase, mais le soleil m’a aveuglé. Allongé sur la mousse trop azoté j’ai décidé de contrer ma volonté d’être humide en inversant ma transparence, l’herbe au-dessus de mon corps, respire respire respire vite vite vite ….COURSSSSSSSS !!!!! Bizarre mon idée que de croire qu’il me fallait des valeurs, je suis trop fort, décider de ne rien faire avec une centrale nucléaire en phase 2, un poing levé j’ai sorti la scie, le marteau et j’ai scié et tapé, me suis niqué l’épicondylite, 1 2 3 soleil plus fort. Quel bonheur finalement de vouloir mourir dans l’effort. Je cherche la crise cardiaque et je n’ai récolté qu’un mal de crâne, une mâchoire de travers, un bras mort, et une putain de tristesse de l’âme à faire trembler un terroriste. Idées qui poussent sous la haine. Je suis comme un immigré dans le bonheur, bien élevé mais pas intégré. 123 soleil espèce d’enculé, tu as tout réveillé !
dimanche 8 avril 2018
EMPRUNTER LA PETITE ROUTE A DROITE ET ENTRER DANS LA CONFESSION
1 ! 2 ! 3 ! Soleil !!! Bah enculé de soleil ouai, week end de folie, herbe qui pousse, oiseaux qui chantent, abeilles voleuses, chien qui boîte, homme qui souffre, femme qui gueule, soleil qui brûle, herbe qui pousse (bah oui deux fois elle pousse elle), balai qui brosse, cristaux de soude qui nique ma peau, alcool qui saoule, plantes qui hurlent, muscles qui flambent, sexe qui s’tend, poules qui meuglent, voitures de sport qui meuglent, chats qui meuglent, sexe qui meugle (bizarre ça mais bon), voisins qui voisinent, avions qui tracent le ciel, et moi qui me noie allongé sur le dos dans l’herbe humide. Les basses trop volatiles dans le ciel bleu azur. Putain de soleil, j’ai souffert, et toutes mes copines qui hurlaient de désire, une par une, je les ai prises et emmenées faire un tour de bleu, de giclettes elles buvaient. Ah les coquines ! Des jours des mois enterrés nous étions posés juste en bas dans mon 7ème sous-sol. De son soleil je n’en voulais pas, je suis trop faible. Dans une grosse colère les muscles en arrière, j’ai offert la lumière. Le soleil avec son putain de sourire m’a fait entrer dans le grand chantier du brûlage de peau, de muscles, jusqu’au dernier souffle, deux trois chardonnay en perfusion pour oublier les douleurs, syndrome de salam qui me nique les dernières neurones, Alfred Lyme qui me décline sous les larmes, 1 2 3 soleil en plein délire. Des abeilles par millier, allez dansez !!!! Une tranche de jambon deux trois haricots verts et de l’eau bénite et après deux virgule 7 prières le sang du Zésus caché dans une simple bouteille de bière, si j’avais su j’aurai cathéchisé plusieurs années à fuir le curé qui ne courait pas assez vite, servitude charité une brioche monsieur madame pour les aveugles qui ne voient pas et qui ne croient pas. 1 2 3 soleil ! Lundi !!! Aïe ! Higelin est parti. Salut sans risque. Ha ha et ils parlent de retraite et d’acquis sociaux en Afrique sur des rails rouillés avec des pancartes orange fluo alors pas étonnant qu’il se soit barré chez Perpét. Allume un pétard j’arrive. Méfiance au DLU, sur la route, si la peur fait bouger elle fait rarement avancer, putain ma phrase, mais le soleil m’a aveuglé. Allongé sur la mousse trop azoté j’ai décidé de contrer ma volonté d’être humide en inversant ma transparence, l’herbe au-dessus de mon corps, respire respire respire vite vite vite ….COURSSSSSSSS !!!!! Bizarre mon idée que de croire qu’il me fallait des valeurs, je suis trop fort, décider de ne rien faire avec une centrale nucléaire en phase 2, un poing levé j’ai sorti la scie, le marteau et j’ai scié et tapé, me suis niqué l’épicondylite, 1 2 3 soleil plus fort. Quel bonheur finalement de vouloir mourir dans l’effort. Je cherche la crise cardiaque et je n’ai récolté qu’un mal de crâne, une mâchoire de travers, un bras mort, et une putain de tristesse de l’âme à faire trembler un terroriste. Idées qui poussent sous la haine. Je suis comme un immigré dans le bonheur, bien élevé mais pas intégré. 123 soleil espèce d’enculé, tu as tout réveillé !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire