Je reviens d’une exploration fonctionnelle sur un samedi condensé à l’humidité de mes joues quand le blanc du bois rencontre le noir de l’acier avec un putain de coffre électrique. D’un coup une fois fini de passer la buse d’un aspirateur à émotions sur mon dernier passage en baccalauréat option tristesse, qui plus est mention très bien excusez-moi du peu, l’excellence n’étant plus admise à l’académie, mon pote Vinsz m’a dit ramène ta gueule ici la thérapie commence dans dix minutes. Alors je n’ai pas pour habitude de mélanger les couleurs de mes textes dans un même tableau, mais ce jour est un jour un peu spatial, beaucoup trop riche en bouclettes de neige pleurantes et euphorisantes. Naaaan ferme ta gueule je ne me drogue pas putain de merde de bordel de, ce sont des métaphores….En Mini équipée de ma carte d’identité sans flocons de neige nous voilà, ma fée et moi, partis à la conquête du nord, bah ouai c’est dans le nord, et des couleurs j’en vois. Machin contemple sa chaussette. Alors je l’ai déjà écrit mais c’est une première, je vais mélanger dans un faitout ma journée mes envies ma tristesse mon bonheur mes amis mes amours mon alcool dans un putain de même texte car j’ai pas toute la nuit hein, faut que je dorme aussi. D’ailleurs, si jamais tu sens que tu n’as pas trop de temps pour le superficiel, je t’invite vivement d’aller vers l’essentiel : le bonheur de rencontrer des artistes comme Karotte et Vinsz au milieu d’une visite temporelle où l’horloge ne serait pas de Suisse, quand les secondes irréelles deviennent des heures réelles, enfin prévois quand même de donner à manger au chien avant de partir car le retour n’est pas pour l’aiguille matérialisée de ton compteur rhétorique. Mais voilà nous y sommes et je vais pas me la jouer je connais déjà, non non non, cette histoire est bien nouvelle, une putain d’expo de nouveautés à tous les étages, chose extraordinaire quand même, j’ai posé mon cul par terre et j’ai lu un chapitre sur la Psychiatrie tenu en laisse sur quelques pages par une pince à linge miniature, je suis bon pour l’asile, quizz réussi à l’a mor. Des boques pomme, et une discussion avec Karotte en mode comme je ne sais pas parler j’écoute car quand j’essaie de m’exprimer ça ressemble à une casserole de pâtes trop cuites que tu verses dans une passoire, nous avons débattu sur l’interprétation des œuvres de bites et de foufounes dans un monde contemporain en pleine crise dictatoriale pour une expo d’Érotique Art à venir bientôt. Crise qui prend de l’ampleur dans mes nouvelles et nous y voilà, l’eau des pâtes est passée. La liberté d’expression réclamée à feu et à sang dans les rues n’existe plus, je n’arrive même plus à laisser trainer une bite ou une couille dans mes textes, un noir ou un jaune, un pd ou une gouine, connotation lesbophobe qui plus est, laisse-moi peindre une grosse bite bordel dit-elle et je réponds pas de place pour ta foufoune au bout de mon HB. Alors je te dis clairement et sans retenue, vous tous qui défilez dans les rues pour réclamer plus de réclames accessibles au tout public coincé entre je ne suis pas mais je suis, vous commencez par me faire chier, toi connard qui est Charlie le lendemain de l’explosion de cervelles dans une salle de réunion à la kalach, tu m’empêches d’écrire, je pose mes yeux sur le cul d’une fille je deviens un tueur en série des plus effroyables, je peins une toile avec une culotte baissée et je deviens le pervers à abattre, je dis que tous les pd sont pd et je finis avec une censure au cul au journal qui fait peur à vingt heures, quand j’ai écrit que les barbus….désolé je n’ai plus le droit de l’écrire. Tu bouffes de la viande tu deviens un terroriste pour les médias, les gens Mass Médiassés te regardent de travers car tu es LE bouffeur de viande et pourtant je trie mes déchets et je paie mes impôts comme une pute qui donne le pognon de sa passe à son maquereau, bordel je l’ai bien pris dans le cul sa grosse bite, laisse-moi au moins profiter de son spermedollard. Alors d’un monde libre à chaque coin de rue que tu réclames à reculon, j’ai surtout l’impression que tu as modélisé une dictature imputrescible à chaque feu rouge ou vert d’ailleurs car il n’y a plus de limite à ta limite, chaque mot est analysé et controversé, chaque image est zoomée puis décortiquée jusqu’à trouver l’indice d’une histoire sans fin, alors je me demande ce que tu veux en défilant dans les rues pour déclarer ton identité, veux-tu un monde libre ??? Franchement j’ai des doutes quand je vois que je suis obligé de m’autocensurer juste pour parler d’une barbe et de pd, j’ai des doutes quand je vois que mon amie se demande si elle peut peindre une bite sur une toile érotique, j’ai des doutes quand je te vois défiler dans la rue, tu ne ressembles à plus rien d’autre qu’un objet de la Mass Médiasse Populasse et à la seconde où j’écris ces derniers mots, j’ai quand même envie de te dire une politesse : VA TE FAIRE ENCULER . J’en ai marre de me relire, j’en ai marre de ne plus pouvoir parler, j’en ai marre de ta pseudo liberté, je ne me suis jamais senti autant oppressé que depuis que tu es devenu Charlie. Tu balances du hashtag à tout vent. Tu sais quoi puritain de mes couilles, je vais réanimer Coluche et je vais te foutre dans le cul des tonnes de Desproges jusqu’à plus soif....tu veux de la liberté conditionnelle, je vais t’enseigner la dictature mais fous moi la paix, je veux crever en te mettant mon doigt dans le cul saloperie de liberté d’expression !!!!!
dimanche 10 décembre 2017
MON DIEU J’AI PÉCHÉ COCA COLA ABDOULA
Je reviens d’une exploration fonctionnelle sur un samedi condensé à l’humidité de mes joues quand le blanc du bois rencontre le noir de l’acier avec un putain de coffre électrique. D’un coup une fois fini de passer la buse d’un aspirateur à émotions sur mon dernier passage en baccalauréat option tristesse, qui plus est mention très bien excusez-moi du peu, l’excellence n’étant plus admise à l’académie, mon pote Vinsz m’a dit ramène ta gueule ici la thérapie commence dans dix minutes. Alors je n’ai pas pour habitude de mélanger les couleurs de mes textes dans un même tableau, mais ce jour est un jour un peu spatial, beaucoup trop riche en bouclettes de neige pleurantes et euphorisantes. Naaaan ferme ta gueule je ne me drogue pas putain de merde de bordel de, ce sont des métaphores….En Mini équipée de ma carte d’identité sans flocons de neige nous voilà, ma fée et moi, partis à la conquête du nord, bah ouai c’est dans le nord, et des couleurs j’en vois. Machin contemple sa chaussette. Alors je l’ai déjà écrit mais c’est une première, je vais mélanger dans un faitout ma journée mes envies ma tristesse mon bonheur mes amis mes amours mon alcool dans un putain de même texte car j’ai pas toute la nuit hein, faut que je dorme aussi. D’ailleurs, si jamais tu sens que tu n’as pas trop de temps pour le superficiel, je t’invite vivement d’aller vers l’essentiel : le bonheur de rencontrer des artistes comme Karotte et Vinsz au milieu d’une visite temporelle où l’horloge ne serait pas de Suisse, quand les secondes irréelles deviennent des heures réelles, enfin prévois quand même de donner à manger au chien avant de partir car le retour n’est pas pour l’aiguille matérialisée de ton compteur rhétorique. Mais voilà nous y sommes et je vais pas me la jouer je connais déjà, non non non, cette histoire est bien nouvelle, une putain d’expo de nouveautés à tous les étages, chose extraordinaire quand même, j’ai posé mon cul par terre et j’ai lu un chapitre sur la Psychiatrie tenu en laisse sur quelques pages par une pince à linge miniature, je suis bon pour l’asile, quizz réussi à l’a mor. Des boques pomme, et une discussion avec Karotte en mode comme je ne sais pas parler j’écoute car quand j’essaie de m’exprimer ça ressemble à une casserole de pâtes trop cuites que tu verses dans une passoire, nous avons débattu sur l’interprétation des œuvres de bites et de foufounes dans un monde contemporain en pleine crise dictatoriale pour une expo d’Érotique Art à venir bientôt. Crise qui prend de l’ampleur dans mes nouvelles et nous y voilà, l’eau des pâtes est passée. La liberté d’expression réclamée à feu et à sang dans les rues n’existe plus, je n’arrive même plus à laisser trainer une bite ou une couille dans mes textes, un noir ou un jaune, un pd ou une gouine, connotation lesbophobe qui plus est, laisse-moi peindre une grosse bite bordel dit-elle et je réponds pas de place pour ta foufoune au bout de mon HB. Alors je te dis clairement et sans retenue, vous tous qui défilez dans les rues pour réclamer plus de réclames accessibles au tout public coincé entre je ne suis pas mais je suis, vous commencez par me faire chier, toi connard qui est Charlie le lendemain de l’explosion de cervelles dans une salle de réunion à la kalach, tu m’empêches d’écrire, je pose mes yeux sur le cul d’une fille je deviens un tueur en série des plus effroyables, je peins une toile avec une culotte baissée et je deviens le pervers à abattre, je dis que tous les pd sont pd et je finis avec une censure au cul au journal qui fait peur à vingt heures, quand j’ai écrit que les barbus….désolé je n’ai plus le droit de l’écrire. Tu bouffes de la viande tu deviens un terroriste pour les médias, les gens Mass Médiassés te regardent de travers car tu es LE bouffeur de viande et pourtant je trie mes déchets et je paie mes impôts comme une pute qui donne le pognon de sa passe à son maquereau, bordel je l’ai bien pris dans le cul sa grosse bite, laisse-moi au moins profiter de son spermedollard. Alors d’un monde libre à chaque coin de rue que tu réclames à reculon, j’ai surtout l’impression que tu as modélisé une dictature imputrescible à chaque feu rouge ou vert d’ailleurs car il n’y a plus de limite à ta limite, chaque mot est analysé et controversé, chaque image est zoomée puis décortiquée jusqu’à trouver l’indice d’une histoire sans fin, alors je me demande ce que tu veux en défilant dans les rues pour déclarer ton identité, veux-tu un monde libre ??? Franchement j’ai des doutes quand je vois que je suis obligé de m’autocensurer juste pour parler d’une barbe et de pd, j’ai des doutes quand je vois que mon amie se demande si elle peut peindre une bite sur une toile érotique, j’ai des doutes quand je te vois défiler dans la rue, tu ne ressembles à plus rien d’autre qu’un objet de la Mass Médiasse Populasse et à la seconde où j’écris ces derniers mots, j’ai quand même envie de te dire une politesse : VA TE FAIRE ENCULER . J’en ai marre de me relire, j’en ai marre de ne plus pouvoir parler, j’en ai marre de ta pseudo liberté, je ne me suis jamais senti autant oppressé que depuis que tu es devenu Charlie. Tu balances du hashtag à tout vent. Tu sais quoi puritain de mes couilles, je vais réanimer Coluche et je vais te foutre dans le cul des tonnes de Desproges jusqu’à plus soif....tu veux de la liberté conditionnelle, je vais t’enseigner la dictature mais fous moi la paix, je veux crever en te mettant mon doigt dans le cul saloperie de liberté d’expression !!!!!
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