NOTIFICATION DE VERSEMENT DE LARMES 2019 – II- 14

Le fait que je n’écrive que la nuit fait que ça brûle dans les ténèbres, une fois que le peuple est endormi dans des draps molletonnés. Alors que veux-tu que je pense, que veux-tu que j’efface dans cette place remplie de poubelles, tu veux que je sauve les abeilles, mais qui es-tu ? Moi je suis un SAGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE ! Je déclenche mon alarme au moment de chasser un enculé de chat, juste entre la troisième et la quatrième vertèbre au moment de me péter la gueule, t’en souviens-tu ? Je bois mon dernier verre de vin dans un arrosoir qui prend soin de mes amis, je cours vers l’inconnu, la bite à l’air, je m’invente une autre vie avec un couteau planté dans le cou par un migrant qui voulait juste vivre ici dans ce paradis, que voulais-tu que je lui dise, qui sera le prochain ? J’ai les poils qui s’éjectent de mes bras en courant dans la nuit, jusqu’au fond de mon jardin. Tu veux que je parle de mon jardin c’est ça ? Des limaces qui boivent de la bière avant de bouffer de la salade ? Les oiseaux sont pervers et incestueux, où veux-tu que je regarde ? Ils construisent des hlm dans les creux de ma toiture dans un bruit infernal. Appelle-moi destruction un soir de carnage. Tu veux que je te parle aussi de cet hérisson qui ne voit jamais l’impasse d’une cours sans sortie. Mille fois que je le sauve, jusqu’à….ce que cette taupe qui soit disant est aveugle et qui garde le secret d’arriver à perforer mon terrain. Quelle importance ! Trop aveugle comme les esprits faibles. Un coup de pelle ressemble à un combat du loup et de l’agneau. Que je l’extermine quelle importance. J’achète au prix du cours de l’or des coccinelles pour bouffer des pucerons alors que Mosento est presque gratuit, un orgasme de cancer. J’attends le sauveur mais je viens d’avoir un coup derrière le cou. Je suis devenu fou. Cinquante ans que j’attends l’après.
T’allulan ch’i goghats’el ays yerekhayin, na ts’ankanum er pashtpanel nran hajord pahi patmut’yunnerits’, ogostosin khusap’elu hamar ogostosin sarrets’vats lchum netvats zhayrri pes: Mi t’voghek’ T’allulayi goghut’yuny, nerek’ nran vorpes parzapes mard: Bayts’ ardarut’yunn avartvets’, inch’pes dzez het kyank’y:
Arrête de me sucer le sang, espèce de riche cannibale, laisse-moi vivre mes cauchemars. Je viens de me moucher, du sang plein la ouate, je suis mort ou bientôt la fin du tunnel. Halleluya Tallulah sauve moi, enlève moi.
Madloonflayed©- 2019 - أنت لن تقتل طويلاً