Putain tous les drogués de la NordEstSphère vont se jeter dans la
moselle bordel ! Et toi t’es là en mode « ah ouai bah j’savais pas » Je
ne sais même plus pourquoi j’ai écrit ça sur un bout de mouchoir en
papier, alors c’est pas grave je…j'éternue. Peux-tu m’expliquer pourquoi
il est en colère contre son ami ? Ouiiii enfin non . Je ne m’explique
pas comment deux potes de longue date (ayé j’écris comme un
écrivain)(putain ça craint)(ouai je sais)(bah fait quelque chose
alors)(ouai d’accord) arrive à se croquer le cerveau et se détester à
cause de posts stupides sur la débilosphère alors qu’ils ont réussis à
survivre à un accident de voiture, à des centaines de cuites, à quelques
cancers bien cachés, et tout ça ensemble. Mais non, y a pas à faire
l’humain dans sa splendeur désintellectuelle arrive à se dire ta gueule
pauvre type sur un truc inventé par le blond alors que même un tacle sur
un terrain de foot boueux n’a jamais cassé leur amitié. Comprends pas !
AGUEUUUgueuuu. Et plus on approche d’un truc que tout le monde critique
et déteste, plus ceux qui le détestent en parle…Et là John Travolta me
montre l’attitude. C’est un peu comme ceux que je vois sur facebook se
déchirer les narines sur les flics, bande de fils de putes de flics
qu’ils disent, et ce sont les mêmes qui roulent avec une voiture
assurée, qui s’arrêtent au feu rouge, qui donnent gentiment leur papier
lors d’un contrôle routier, qui ne volent pas dans les magasins, qui
n’agressent pas une grand-mère dans la rue…vas-y tu m’expliques là j’ai
du mal. Ce sont ces mêmes connards qui se disent fuck the law, qui se
disent contre la société et qui paient leurs impôts comme des grosses
bites sans broncher, qui roulent dans une voiture gavée de pétrole taxé
par des milliardaires, qui critiquent sans cesse et qui vont quand même
acheter leur pain une fortune. Ce sont d’ailleurs les mêmes qui veulent
accueillir la terre entière et qui ne me tiennent pas la porte, vas-y tu
peux m’expliquer ? Ce sont ces mêmes débiles qui se foutent sur la
gueule juste parce que mass médiace et populace donne le ton et la
direction, cette même mass médiace connasse qui est aux ordres d’un
connard qu’ils détestent et bafouent jour après jour. Alors franchement
j’ai du mal avec l’humain ! Et le pire c’est que je peux écrire tout ça
sans qu’un enculé vienne me faire chier car il sait que je peux le
démonter en quelques secondes car plus personne n’est crédible, personne
n’est capable de tenir une ligne droite. Enfin c’est faux ! Je connais
deux ou trois types qui sont capables de souffler le chaud et le froid
dans une ligne continue et j’en fais partie. Mais je n’en suis pas
fier…enfin si un peu sinon je ne l’écrirais pas. Il n’y a qu’une seule
conduite à tenir sur une route verglacée : fermer les yeux, prier un
dieu (ça peut être ton chien, ton hamster ou ta voisine en short
moulant), te laisser aller et lâcher tout, ne pas freiner, ne pas
essayer d’aller à gauche ni à droite et serrer le cul…. Sinon j’ai une
petite dédicace pour mes amis, ceux qui gardent le sourire et qui ne
voient que le bonheur et les étincelles qui brillent en chacun de nous,
ceux qui me permettent de rester en veille encore un peu, ceux qui me
mettent en veille aussi, ceux que j’arrive à regarder sans y voir un
extrémiste religieux, un extrémiste capricieux, un extrémiste peureux,
ceux qui m’aident à tenir debout…quand je suis saoul (en même temps je
ne suis jamais saoul et ça ne me demande pas pourquoi), ceux que
j’arrive à voir sans voir Le Pen ou Mélenchon ou les autres tous
pourristouspourun, ceux qui arrivent à m’arracher un sourire (et là ils
sont forts sans déconner), pour ces amis là je dédie ma vie. (wowww
c’est émouvant gros, oh putain vas-y t’es trop dans le groove de la
forme littérature de ouf gros, oh putain le style gros)(gros)(grrrrrrr)
samedi 25 février 2017
dimanche 19 février 2017
E-FIDELITE
Je prends beaucoup sur moi certaine fois, je m’interroge, j’analyse,
je fais caca aussi, souvent, tout le temps, je dis beaucoup de conneries, j’écris
jusqu’à me retrouver en tôle, une pièce de 5 par 5 avec un blouson pas facile à
enlever, mais aussi je vois ! Et là je m’adresse à vous les filles, je
vais vous titiller un peu car je fréquente pas mal d’âmes, à travers les
livres, la rue, mes rêves, ma vie et je rencontre souvent ce problème : la
transmission des ondes, la transmission des fluides, la transmission des
pensées, la transmission des regards volés, la transmission de la bagnole, ouai
gros problème ça, bref la compréhension des genres et des personnes dans un
instant « X » dans un complément d’objet et de lieu « Z »
sous une pluie battante. Exemple : j’ai un pote à moi qui est homosexuel à
tendance homosexuel visible, avé le petit doigt en guise de pinceau virtuel et
un phrasé digne d’une fable de eniatnoFaL hyper affublé d’un accent excitant,
enfin je crois que ça excite certaines hormones, et mon ami, devant une jolie
blonde assise au comptoir d’un bar renommé, lui lance : »Oh mon Dieu
mais ce que tu es belle ce soir, ohlalalala cette mini-jupe et tes cuisses si
fines je les croquerai (et là il lui caresse la joue) et cette peau que tu as
mais c’est un délice tactile…pfiouuuuuuuuu un vrai trésor quoi ! » Et
je vois la jolie blonde s’affubler d’un sourire et d’une voix attendrissante dire
à mon ami : » oh mais tu es adorable, embrasse-moi, ce que tu es
gentil ». C’est pas que je me fasse chier sur mon tabouret à siroter une
espèce de bière mais je me dis Wowww c’est un truc de fou, vas-y pousse toi mon
pote, je me lance et je m’installe à côté de cette beauté et lui dit : »
Oh mon Dieu mais ce que tu es belle ce soir, ohlalalala cette mini-jupe et tes
cuisses si fines je les croquerai (et là je lui caresse la joue) et cette pppppppp
…….. » j’ai pas fini ma phrase que je me prends un retour de gifle,
sachant que le premier passage avec la paume m’a fait tomber du tabouret et
dans un concert de « espèce de macho de merde va te faire foutre connard »
et d’autre amabilités du genre je suis obligé de fuir sous les applaudissements
de la foule.
Il est où le problème ? Mon même pote avec une copine à
nous, une nana mon pauvre, jamais vu une fille aussi jolie et il lui tripote
les fesses et lui dit : » mais je suis sûr que tu vas au club de gym
sans rire ma belle, tu as des fesses ma parole mais wowww ». Je n’ai même
pas essayé d’approcher mes mains de ce superbe cul, pourtant il n’y avait pas
de tabouret je ne pouvais pas tomber, j’ai juste ouvert le catalogue de la
redoute page 143 et j’ai pris une chaussette, putain de salope va !
Enfin bref, si tu me vois accoudé au comptoir d’un bar, avec
les jambes croisées, et même si la position m’écrase les couilles, si tu me
vois tenir mon verre de blanc avec le petit doigt levé, et si tu trouves que j’ai
une voix un peu bizarre….ma pauvre fille ….SAUVE TOI !!!!!
Je t’aime ma fée.
ACTION OU SAUMON 907
L’hiver était proche de la folie avec ses dix degrés cet
aprem, du coup j’ai encore picolé et fumer des trucs du jardin, mais putain que
j’y étais bien, entendre le bourdonnement d’une bestiole avec des ailes, voir
les bébés moutons juste à côté de mon jardin, courir après la balle que mon
chien m’a lancé… et puis voir des hordes de bikers…enfin des cyclistes en tenue
moulante rose fluo, vert fluo, jaune fluo, bleu fluo, blanc fluo avec des trucs
écrits genre « pétrole et anne » ou des « fdp » en même temps me
rappelle plus j’avais trop bu, et toutes ces couleurs pfiouuuu mais surtout je
me demandais si c’était à cause qu’ils avaient un truc qui leur rentrait dans
les fesses qui les faisaient caqueter autant en pédalant, parce que une bande
de cyclistes ça caquette pire que des gonzesses au salon de thé quoi !
mercredi 15 février 2017
L'INCLINAISON DE LA MAREE
Ils étaient là, assis sur le bord d’un mur en regardant leur
fille s’amuser sur la plage quand les grains de sables sont devenus des galets
géants, glissants, luisants, mais la gamine s’amusait comme une folle en jetant
des coups de pieds sur les vagues. Les vagues frappaient en hurlant sur les
cailloux mais ils étaient là à regarder leur belle gamine sauter de galets en
galets, glissant de temps en temps mais elle s’amusait. Chaque saut qu’elle
faisait manquait à l’autre, son père s’amusait de voir que sa fille avait les
seins qui poussaient. Chaque pas manquait à l’autre, un peu comme une empreinte
qui manque dans la neige. La mer était agitée, déchainée, chaque vague défiait
l’humanité, chaque vague qui se fracassait sur les galets manquait leur cible.
La gamine jouait, la gamine s’est fait emporter, disparue à jamais, n’a-t-elle
jamais joué. Ses parents la regardent assis sur ce mur…la regardait. Disparue
ils sont rentrés chez eux, dans leur édifice, une prison de rêves, le tapis
était rouge, les pas glacés. La cantine a appelé ce midi, leur fille n’est pas
allée manger, elle jouait sur la plage, elle sautait sur les galets, la mer
était défoncée, elle est partie. La cantine n’a jamais appelé mais son père est
persuadé que ses seins poussaient, sa fille jouait, cette fille jouait, ça
jouait…jouait… Et cette chasse au trésor alors, c’est bien ça qu’elle faisait
de galets en galets, elle cherchait son trésor, des pièces d’or mais elle
jouait mais ne cherchait, la cantine a appelé ce midi mais le père avait les
yeux fermés, sa fille avait les seins qui poussaient. Sa mère frotte le sol l’éponge
remplie de crème à récurer, elle efface l’empreinte des pas dans la neige et
son père cherche encore son trésor, sa fille jouait avec les vagues qui se
fracassaient sur les galets. Ils étaient là tous les deux assis sur ce mur à
regarder leur fille jouer sur la plage. Mais chaque pas qu’elle faisait s’effaçait,
ne s’enfonçait, disparaissait. Ils sont rentrés chez eux et sa mère frottait
encore le tapis pour effacer le sang d’une chasse au trésor. Son père était le
guide, sa mère effaçait les traces dans la neige. L’éponge remplie de crème à
récurer le tapis était gris, comme les pas de sa fille qui s’effaçaient, son
père s’amusait de voir que ses seins poussaient. Chaque pas est effacé par l’ombre
des endroits où elle n’est jamais allée. N’a-t-elle jamais joué sur cette plage,
ses parents étaient assis là, sur ce mur, sur cette ombre, les vagues
frappaient à la porte, la cantine n’a jamais appelé. Son père se tient la tête
entre les mains, sa mère mange l’éponge, ses seins n’ont jamais vraiment poussé,
la gamine ne laissait jamais de pas dans la neige, ni sur le tapis rouge dans l’entrée
de leur maison, ça ne sert plus à rien de frotter, les galets sont glissants,
les vagues hurlaient….
dimanche 12 février 2017
DEMATINSOIR
En fait j'abandonne les politicards, j'aime pas la mode ! Non je pense
plus à ceux qui pensent que je suis raciste (voir mes posts précédents)
je pense aux connards intolérants avec leur pensée universelle
unilatérale car ils n'élèvent plus les débats, je pense à ceux qui
veulent imposer leur religion, à ceux qui veulent que l'on mange comme
eux, à ceux qui ne comprennent pas que la diversité des genres (et je ne
parle pas des couleurs de peau et tout cette polémique autour car c'est
déjà fait : une seule race pour plusieurs couleurs de peau), des genres
qui boivent du lait ou autre chose, une diversité d'âmes rencontrées au
gré des rues, des chemins, je mange de la viande toi pas mais on
s'aime, je bois du vin toi pas mais on s'aime. C'est cette diversité qui
fait la force d'un peuple. Aujourd'hui chacun est convaincu que seule
sa façon d'agir est la bonne, moi je dis CONNARD ! Laissons le monde tel
qu'il est, laissons les gens vivre leur vie, si je prends l'exemple des
vegans virulents (je ne parle pas des vrais vegans avec une vrai
philosophie de vie et de santé) qui veulent que plus personne ne mange
de viande en bloquant l’accès aux petits producteurs de viande, moi je
leur dis allez vous faire foutre, si vous voulez faire une bonne action
amis vegans, allez bousiller la ferme aux mille vaches, interdisez
l’accès des grandes industries de la viande dans notre pays, et au lieu
de crier comme des connards dans la rue, faites en sorte que je
comprenne votre action et que je sois d'accord avec vous, la parole
c'est mieux qu'un coup de matraque dans le cul bordel de merde!!! Parce
qu'au fond j'ai l'impression que tout le monde critique tout le monde
mais personne n'est meilleur que l'autre au final. J'aime pas les cons
j'y suis pour rien, qu'ils soient noirs bleus rouges verts je m'en
branle, j'aime pas les cons de toutes couleurs confondues. Je hais les
cons tous de la même façon. C'est comme les homosexuels qui s'affichent
en mode "t'as bien vu que je suis homosexuel et bah je vais toucher le
cul de mon (ma) partenaire toutes les dix secondes sur le quai de la
gare juste pour te faire chier", mais merde ! Jamais, par pudeur et
respect pour les autres, je ne m'affiche avec ma fée en lui tripotant
les seins et la chatte en pleine rue, et pourtant des fois j'avoue que
j'aimerai bien lui sauter dessus d'un coup par pure folie, mais non je
ne le fais pas parce que je suis bien élevé, et j'ai des amis
homosexuels bien élevés aussi qui viennent manger à la maison. Tu vois
ce sont ces connards qui sous prétexte qu'ils croient en quelque chose
se prennent pour les meilleurs de la planète. A tous ces gens
intolérants je leur dis allez vous faire enculer ! Ayé je fais caca,
c'est bon. Sans déconner j'aime tout le monde mais apparemment ce n'est
pas l'impression que je donne, moi je dis respecte moi et je serai
respectueux aussi ! J'aimerai tellement un monde plus cool ! Tiens sinon
en ce moment j'écoute beaucoup de musique arrachée à la rue, des
musiques que tu peux trouver au bord du trottoir ou dans une gare, et là
je peux te garantir que mon esprit est en paix, car qu'ils soient
africains, allemands, russes....tous ces zicos me font plaisir. Sinon il
est pas mauvais ce vin bio ...
dimanche 5 février 2017
TERMINER SOUS TERRE
Définitivement accroché au
vide, dans une dépression dans la nuit froide, regardant la face lunaire d’un
trou béant, le kaktos disparait dans un nuage de fumée, pfchiiiioouuuuu, expulsé
comme un malpoli d’une boîte à bijoux. Kaktos graine a perdu sa maman, il ère
sur le bitume, percuté par un semi-remorque il survit dans un roulé boulé
jusque dans le caniveau. C’est un rejet d’épines sans épines, perdu dans une
boule poussiéreuse, y a même le chat qui a pissé dessus. Du coup il hésite
entre être fascié ou cristé, en même temps la pisse de chat c’est bon pour le
christ. L’aigle a dévoré le serpent et l’eau peine à venir. Il est temps de
parcourir du chemin, perdu dans un égout, Kaktos perd son latin. Difficilement
reconnaissable dans sa coquille microscopique, il invente la lune, la terre, le
pipi de chat et les semi-remorques. Peu importe l’état, ou l’Etat, il arrive
là, dans un point de terre sans terre, exilé sans matricule, juste avec son
manteau, son jean troué et sa grosse paire de couilles. Kaktos décide alors de
vivre seul. Moi j’aimerai bien vivre avec lui, c’est un ami d’Afrique, ou alors
il vient d’un western, mais il est frileux d’un soleil trop généreux. Mais il
sait avant même d’être vieux, sachant que j’ai fait médecine, qu’il va me
rajeunir, on dira qu’aloès verra. Kaktos doit voir le jour, Kaktos entre mes
doigts fertiles, arrosera qui verra. L’homme aux cheveux bleus me dit d’attendre,
d’espérer, de prendre 20 cl de terre déchargée d’acide, déchargée des P.bj.t/s,
remplie d’amour et d’humidité relative à plus de 50% en période d’alunation, et
surtout, ne pas laisser pisser le chat dessus. Kaktos est là en pleine terre,
érigeant sa grosse paire de couilles mais ne surgissant point dans un éclat de
sperme tôt ce matin. J’ai trébuché dans le chat, il miaule râle pas eu le temps
de pisser sur kaktos, mais depuis presque un mois Kaktos ne vit pas, je n’ose
même pas fouiller la terre pour savoir ce qui ne va pas, j’ose espérer que le
choc du semi-remorque et la pisse du chat ne l’aura pas définitivement dégouté
de vivre avec moi, de toute façon j’aime pas les chats, je vois pas le
problème. J’ai ouvert un cône de feuilles séchées, soufflé devant sa puberté,
prié dans des mots interdits, pissé dessus on ne sait jamais, mais Kaktos
demeure à zéro, sans vie, sans envie, le truc con c’est que j’ai regardé la
météo sur France 3, et apparemment ça ne lui a pas plu, c’est con. Vraiment
con. Le climat du sud bjectif n’était pas approprié. Je peux faire peur parfois.
Mais putain de merde, pousse bordel, ce n’est pas comme si j’attendais ta
réponse à mon invitation au bal du samedi soir, John Travolta, Saturday Night
Fever, et tout le bordel qui vient après. Bon Kaktos, pousse et emmerde le
monde dans lequel tu vas vivre, je sais c’est dur, mais fait un effort, je veux
juste voir ta tronche au réveil lundi, quand tout espoir est fini…………et si on
crevait ensemble !!!!!
Inscription à :
Articles (Atom)