samedi 25 février 2017

NETTOYANT AUTOMATIQUE

Putain tous les drogués de la NordEstSphère vont se jeter dans la moselle bordel ! Et toi t’es là en mode « ah ouai bah j’savais pas » Je ne sais même plus pourquoi j’ai écrit ça sur un bout de mouchoir en papier, alors c’est pas grave je…j'éternue. Peux-tu m’expliquer pourquoi il est en colère contre son ami ? Ouiiii enfin non . Je ne m’explique pas comment deux potes de longue date (ayé j’écris comme un écrivain)(putain ça craint)(ouai je sais)(bah fait quelque chose alors)(ouai d’accord) arrive à se croquer le cerveau et se détester à cause de posts stupides sur la débilosphère alors qu’ils ont réussis à survivre à un accident de voiture, à des centaines de cuites, à quelques cancers bien cachés, et tout ça ensemble. Mais non, y a pas à faire l’humain dans sa splendeur désintellectuelle arrive à se dire ta gueule pauvre type sur un truc inventé par le blond alors que même un tacle sur un terrain de foot boueux n’a jamais cassé leur amitié. Comprends pas ! AGUEUUUgueuuu. Et plus on approche d’un truc que tout le monde critique et déteste, plus ceux qui le détestent en parle…Et là John Travolta me montre l’attitude. C’est un peu comme ceux que je vois sur facebook se déchirer les narines sur les flics, bande de fils de putes de flics qu’ils disent, et ce sont les mêmes qui roulent avec une voiture assurée, qui s’arrêtent au feu rouge, qui donnent gentiment leur papier lors d’un contrôle routier, qui ne volent pas dans les magasins, qui n’agressent pas une grand-mère dans la rue…vas-y tu m’expliques là j’ai du mal. Ce sont ces mêmes connards qui se disent fuck the law, qui se disent contre la société et qui paient leurs impôts comme des grosses bites sans broncher, qui roulent dans une voiture gavée de pétrole taxé par des milliardaires, qui critiquent sans cesse et qui vont quand même acheter leur pain une fortune. Ce sont d’ailleurs les mêmes qui veulent accueillir la terre entière et qui ne me tiennent pas la porte, vas-y tu peux m’expliquer ? Ce sont ces mêmes débiles qui se foutent sur la gueule juste parce que mass médiace et populace donne le ton et la direction, cette même mass médiace connasse qui est aux ordres d’un connard qu’ils détestent et bafouent jour après jour. Alors franchement j’ai du mal avec l’humain ! Et le pire c’est que je peux écrire tout ça sans qu’un enculé vienne me faire chier car il sait que je peux le démonter en quelques secondes car plus personne n’est crédible, personne n’est capable de tenir une ligne droite. Enfin c’est faux ! Je connais deux ou trois types qui sont capables de souffler le chaud et le froid dans une ligne continue et j’en fais partie. Mais je n’en suis pas fier…enfin si un peu sinon je ne l’écrirais pas. Il n’y a qu’une seule conduite à tenir sur une route verglacée : fermer les yeux, prier un dieu (ça peut être ton chien, ton hamster ou ta voisine en short moulant), te laisser aller et lâcher tout, ne pas freiner, ne pas essayer d’aller à gauche ni à droite et serrer le cul…. Sinon j’ai une petite dédicace pour mes amis, ceux qui gardent le sourire et qui ne voient que le bonheur et les étincelles qui brillent en chacun de nous, ceux qui me permettent de rester en veille encore un peu, ceux qui me mettent en veille aussi, ceux que j’arrive à regarder sans y voir un extrémiste religieux, un extrémiste capricieux, un extrémiste peureux, ceux qui m’aident à tenir debout…quand je suis saoul (en même temps je ne suis jamais saoul et ça ne me demande pas pourquoi), ceux que j’arrive à voir sans voir Le Pen ou Mélenchon ou les autres tous pourristouspourun, ceux qui arrivent à m’arracher un sourire (et là ils sont forts sans déconner), pour ces amis là je dédie ma vie. (wowww c’est émouvant gros, oh putain vas-y t’es trop dans le groove de la forme littérature de ouf gros, oh putain le style gros)(gros)(grrrrrrr)

dimanche 19 février 2017

E-FIDELITE





Je prends beaucoup sur moi certaine fois, je m’interroge, j’analyse, je fais caca aussi, souvent, tout le temps, je dis beaucoup de conneries, j’écris jusqu’à me retrouver en tôle, une pièce de 5 par 5 avec un blouson pas facile à enlever, mais aussi je vois ! Et là je m’adresse à vous les filles, je vais vous titiller un peu car je fréquente pas mal d’âmes, à travers les livres, la rue, mes rêves, ma vie et je rencontre souvent ce problème : la transmission des ondes, la transmission des fluides, la transmission des pensées, la transmission des regards volés, la transmission de la bagnole, ouai gros problème ça, bref la compréhension des genres et des personnes dans un instant « X » dans un complément d’objet et de lieu « Z » sous une pluie battante. Exemple : j’ai un pote à moi qui est homosexuel à tendance homosexuel visible, avé le petit doigt en guise de pinceau virtuel et un phrasé digne d’une fable de eniatnoFaL hyper affublé d’un accent excitant, enfin je crois que ça excite certaines hormones, et mon ami, devant une jolie blonde assise au comptoir d’un bar renommé, lui lance : »Oh mon Dieu mais ce que tu es belle ce soir, ohlalalala cette mini-jupe et tes cuisses si fines je les croquerai (et là il lui caresse la joue) et cette peau que tu as mais c’est un délice tactile…pfiouuuuuuuuu un vrai trésor quoi ! » Et je vois la jolie blonde s’affubler d’un sourire et d’une voix attendrissante dire à mon ami : » oh mais tu es adorable, embrasse-moi, ce que tu es gentil ». C’est pas que je me fasse chier sur mon tabouret à siroter une espèce de bière mais je me dis Wowww c’est un truc de fou, vas-y pousse toi mon pote, je me lance et je m’installe à côté de cette beauté et lui dit : » Oh mon Dieu mais ce que tu es belle ce soir, ohlalalala cette mini-jupe et tes cuisses si fines je les croquerai (et là je lui caresse la joue) et cette pppppppp …….. » j’ai pas fini ma phrase que je me prends un retour de gifle, sachant que le premier passage avec la paume m’a fait tomber du tabouret et dans un concert de « espèce de macho de merde va te faire foutre connard » et d’autre amabilités du genre je suis obligé de fuir sous les applaudissements de la foule.
Il est où le problème ? Mon même pote avec une copine à nous, une nana mon pauvre, jamais vu une fille aussi jolie et il lui tripote les fesses et lui dit : » mais je suis sûr que tu vas au club de gym sans rire ma belle, tu as des fesses ma parole mais wowww ». Je n’ai même pas essayé d’approcher mes mains de ce superbe cul, pourtant il n’y avait pas de tabouret je ne pouvais pas tomber, j’ai juste ouvert le catalogue de la redoute page 143 et j’ai pris une chaussette, putain de salope va !
Enfin bref, si tu me vois accoudé au comptoir d’un bar, avec les jambes croisées, et même si la position m’écrase les couilles, si tu me vois tenir mon verre de blanc avec le petit doigt levé, et si tu trouves que j’ai une voix un peu bizarre….ma pauvre fille ….SAUVE TOI !!!!!
Je t’aime ma fée.

ACTION OU SAUMON 907




L’hiver était proche de la folie avec ses dix degrés cet aprem, du coup j’ai encore picolé et fumer des trucs du jardin, mais putain que j’y étais bien, entendre le bourdonnement d’une bestiole avec des ailes, voir les bébés moutons juste à côté de mon jardin, courir après la balle que mon chien m’a lancé… et puis voir des hordes de bikers…enfin des cyclistes en tenue moulante rose fluo, vert fluo, jaune fluo, bleu fluo, blanc fluo avec des trucs écrits genre « pétrole et anne » ou  des « fdp » en même temps me rappelle plus j’avais trop bu, et toutes ces couleurs pfiouuuu mais surtout je me demandais si c’était à cause qu’ils avaient un truc qui leur rentrait dans les fesses qui les faisaient caqueter autant en pédalant, parce que une bande de cyclistes ça caquette pire que des gonzesses au salon de thé quoi !

mercredi 15 février 2017

L'INCLINAISON DE LA MAREE


Ils étaient là, assis sur le bord d’un mur en regardant leur fille s’amuser sur la plage quand les grains de sables sont devenus des galets géants, glissants, luisants, mais la gamine s’amusait comme une folle en jetant des coups de pieds sur les vagues. Les vagues frappaient en hurlant sur les cailloux mais ils étaient là à regarder leur belle gamine sauter de galets en galets, glissant de temps en temps mais elle s’amusait. Chaque saut qu’elle faisait manquait à l’autre, son père s’amusait de voir que sa fille avait les seins qui poussaient. Chaque pas manquait à l’autre, un peu comme une empreinte qui manque dans la neige. La mer était agitée, déchainée, chaque vague défiait l’humanité, chaque vague qui se fracassait sur les galets manquait leur cible. La gamine jouait, la gamine s’est fait emporter, disparue à jamais, n’a-t-elle jamais joué. Ses parents la regardent assis sur ce mur…la regardait. Disparue ils sont rentrés chez eux, dans leur édifice, une prison de rêves, le tapis était rouge, les pas glacés. La cantine a appelé ce midi, leur fille n’est pas allée manger, elle jouait sur la plage, elle sautait sur les galets, la mer était défoncée, elle est partie. La cantine n’a jamais appelé mais son père est persuadé que ses seins poussaient, sa fille jouait, cette fille jouait, ça jouait…jouait… Et cette chasse au trésor alors, c’est bien ça qu’elle faisait de galets en galets, elle cherchait son trésor, des pièces d’or mais elle jouait mais ne cherchait, la cantine a appelé ce midi mais le père avait les yeux fermés, sa fille avait les seins qui poussaient. Sa mère frotte le sol l’éponge remplie de crème à récurer, elle efface l’empreinte des pas dans la neige et son père cherche encore son trésor, sa fille jouait avec les vagues qui se fracassaient sur les galets. Ils étaient là tous les deux assis sur ce mur à regarder leur fille jouer sur la plage. Mais chaque pas qu’elle faisait s’effaçait, ne s’enfonçait, disparaissait. Ils sont rentrés chez eux et sa mère frottait encore le tapis pour effacer le sang d’une chasse au trésor. Son père était le guide, sa mère effaçait les traces dans la neige. L’éponge remplie de crème à récurer le tapis était gris, comme les pas de sa fille qui s’effaçaient, son père s’amusait de voir que ses seins poussaient. Chaque pas est effacé par l’ombre des endroits où elle n’est jamais allée. N’a-t-elle jamais joué sur cette plage, ses parents étaient assis là, sur ce mur, sur cette ombre, les vagues frappaient à la porte, la cantine n’a jamais appelé. Son père se tient la tête entre les mains, sa mère mange l’éponge, ses seins n’ont jamais vraiment poussé, la gamine ne laissait jamais de pas dans la neige, ni sur le tapis rouge dans l’entrée de leur maison, ça ne sert plus à rien de frotter, les galets sont glissants, les vagues hurlaient….

dimanche 12 février 2017

DEMATINSOIR

En fait j'abandonne les politicards, j'aime pas la mode ! Non je pense plus à ceux qui pensent que je suis raciste (voir mes posts précédents) je pense aux connards intolérants avec leur pensée universelle unilatérale car ils n'élèvent plus les débats, je pense à ceux qui veulent imposer leur religion, à ceux qui veulent que l'on mange comme eux, à ceux qui ne comprennent pas que la diversité des genres (et je ne parle pas des couleurs de peau et tout cette polémique autour car c'est déjà fait : une seule race pour plusieurs couleurs de peau), des genres qui boivent du lait ou autre chose, une diversité d'âmes rencontrées au gré des rues, des chemins, je mange de la viande toi pas mais on s'aime, je bois du vin toi pas mais on s'aime. C'est cette diversité qui fait la force d'un peuple. Aujourd'hui chacun est convaincu que seule sa façon d'agir est la bonne, moi je dis CONNARD ! Laissons le monde tel qu'il est, laissons les gens vivre leur vie, si je prends l'exemple des vegans virulents (je ne parle pas des vrais vegans avec une vrai philosophie de vie et de santé) qui veulent que plus personne ne mange de viande en bloquant l’accès aux petits producteurs de viande, moi je leur dis allez vous faire foutre, si vous voulez faire une bonne action amis vegans, allez bousiller la ferme aux mille vaches, interdisez l’accès des grandes industries de la viande dans notre pays, et au lieu de crier comme des connards dans la rue, faites en sorte que je comprenne votre action et que je sois d'accord avec vous, la parole c'est mieux qu'un coup de matraque dans le cul bordel de merde!!! Parce qu'au fond j'ai l'impression que tout le monde critique tout le monde mais personne n'est meilleur que l'autre au final. J'aime pas les cons j'y suis pour rien, qu'ils soient noirs bleus rouges verts je m'en branle, j'aime pas les cons de toutes couleurs confondues. Je hais les cons tous de la même façon. C'est comme les homosexuels qui s'affichent en mode "t'as bien vu que je suis homosexuel et bah je vais toucher le cul de mon (ma) partenaire toutes les dix secondes sur le quai de la gare juste pour te faire chier", mais merde ! Jamais, par pudeur et respect pour les autres, je ne m'affiche avec ma fée en lui tripotant les seins et la chatte en pleine rue, et pourtant des fois j'avoue que j'aimerai bien lui sauter dessus d'un coup par pure folie, mais non je ne le fais pas parce que je suis bien élevé, et j'ai des amis homosexuels bien élevés aussi qui viennent manger à la maison. Tu vois ce sont ces connards qui sous prétexte qu'ils croient en quelque chose se prennent pour les meilleurs de la planète. A tous ces gens intolérants je leur dis allez vous faire enculer ! Ayé je fais caca, c'est bon. Sans déconner j'aime tout le monde mais apparemment ce n'est pas l'impression que je donne, moi je dis respecte moi et je serai respectueux aussi ! J'aimerai tellement un monde plus cool ! Tiens sinon en ce moment j'écoute beaucoup de musique arrachée à la rue, des musiques que tu peux trouver au bord du trottoir ou dans une gare, et là je peux te garantir que mon esprit est en paix, car qu'ils soient africains, allemands, russes....tous ces zicos me font plaisir. Sinon il est pas mauvais ce vin bio ...

dimanche 5 février 2017

TERMINER SOUS TERRE

Définitivement accroché au vide, dans une dépression dans la nuit froide, regardant la face lunaire d’un trou béant, le kaktos disparait dans un nuage de fumée, pfchiiiioouuuuu, expulsé comme un malpoli d’une boîte à bijoux. Kaktos graine a perdu sa maman, il ère sur le bitume, percuté par un semi-remorque il survit dans un roulé boulé jusque dans le caniveau. C’est un rejet d’épines sans épines, perdu dans une boule poussiéreuse, y a même le chat qui a pissé dessus. Du coup il hésite entre être fascié ou cristé, en même temps la pisse de chat c’est bon pour le christ. L’aigle a dévoré le serpent et l’eau peine à venir. Il est temps de parcourir du chemin, perdu dans un égout, Kaktos perd son latin. Difficilement reconnaissable dans sa coquille microscopique, il invente la lune, la terre, le pipi de chat et les semi-remorques. Peu importe l’état, ou l’Etat, il arrive là, dans un point de terre sans terre, exilé sans matricule, juste avec son manteau, son jean troué et sa grosse paire de couilles. Kaktos décide alors de vivre seul. Moi j’aimerai bien vivre avec lui, c’est un ami d’Afrique, ou alors il vient d’un western, mais il est frileux d’un soleil trop généreux. Mais il sait avant même d’être vieux, sachant que j’ai fait médecine, qu’il va me rajeunir, on dira qu’aloès verra. Kaktos doit voir le jour, Kaktos entre mes doigts fertiles, arrosera qui verra. L’homme aux cheveux bleus me dit d’attendre, d’espérer, de prendre 20 cl de terre déchargée d’acide, déchargée des P.bj.t/s, remplie d’amour et d’humidité relative à plus de 50% en période d’alunation, et surtout, ne pas laisser pisser le chat dessus. Kaktos est là en pleine terre, érigeant sa grosse paire de couilles mais ne surgissant point dans un éclat de sperme tôt ce matin. J’ai trébuché dans le chat, il miaule râle pas eu le temps de pisser sur kaktos, mais depuis presque un mois Kaktos ne vit pas, je n’ose même pas fouiller la terre pour savoir ce qui ne va pas, j’ose espérer que le choc du semi-remorque et la pisse du chat ne l’aura pas définitivement dégouté de vivre avec moi, de toute façon j’aime pas les chats, je vois pas le problème. J’ai ouvert un cône de feuilles séchées, soufflé devant sa puberté, prié dans des mots interdits, pissé dessus on ne sait jamais, mais Kaktos demeure à zéro, sans vie, sans envie, le truc con c’est que j’ai regardé la météo sur France 3, et apparemment ça ne lui a pas plu, c’est con. Vraiment con. Le climat du sud bjectif n’était pas approprié. Je peux faire peur parfois. Mais putain de merde, pousse bordel, ce n’est pas comme si j’attendais ta réponse à mon invitation au bal du samedi soir, John Travolta, Saturday Night Fever, et tout le bordel qui vient après. Bon Kaktos, pousse et emmerde le monde dans lequel tu vas vivre, je sais c’est dur, mais fait un effort, je veux juste voir ta tronche au réveil lundi, quand tout espoir est fini…………et si on crevait ensemble !!!!!