Ces terroristes me font penser à ces araignées qui rentrent dans nos
maisons au début de l'hiver, je les chasse avec mon patin (toujours le
patin droit d'ailleurs, faudrait-il que je me pose des questions) mais
ces saloperies finissent toujours par disparaître derrière une plinthe,
un coussin, un meuble. Après une mauvaise nuit de cauchemar envahi
d'araignées, je les retrouve près de mon patin droit au matin, comme
une offrande, et sans pitié je prends mon patin droit pour leur
fracasser le corps de quinze coups de patin. Elles auraient pu se
promener sans soucis dans toute la maison mais non, elles attendaient
mes coups de patin. Bizarre !!!
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