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Pendant ma descente aux enfers, je pensais découvrir l'oenologie, sentir les tanins, les fruits des bois ou encore ces putains d'agrumes, ou mieux le nombre des années dans des fûts de chêne, ses odeurs boisées. Je n'ai vu que les fonds marins et sans bouteille. Plus de 8 mois que j'essaie de tuer la douleur. La performance de la chimie organique du terroir vinicole est bien plus exponentielle que la chimie chimique engélulée vendue sous le manteau par des enculés de pharmaciens bronzés jusqu'à l'anus. Mais j'ai compris, alors j'expérimente un nouveau traitement, un concentré de douleur, d'os tordus, décomposés que je dois avaler chaque matin que Dieu fait. A chaque réveil le même breuvage. Maintenant l'évanouissement est devenu mon seul répit, mon seul sens du bonheur.... quoique mon morceau de chocolat de ce soir a des vertus insoupçonnées.