mercredi 27 mars 2024

TIGROU EST ALLÉ ENCORE TROP LOIN


Contre toutes ces informations, je contre la flèche d'une contre utopique, triste pays, demain un combat pour devenir libre, mais de quelle guerre chante les morts ? Je ne sais plus si toutes les infos se sont enterrées au moment où elles ont atteint mon comas, papa laisse moi libre. J'irai loin, j'irai aimer les oiseaux qui chient sur ma tombe, j'y crois encore. Je crois à la mort tant que je respire encore. A force de suivre les zinfox, j'en suis à aimer la mort, juste parce que je respire encore. Avec ma fée on sait qu'on est rien, à absorber des trucs venus des vibes aliens, tous les deux à se prendre pour des gens importants à marcher au milieu des pigeons sur le chemin avec notre zimzim, un jeu sans tunes, ma fée sait qu'elle vivra encore plus loin, pour mon corps c'est beaucoup plus aléatoire. Se promener encore un peu. Ce champignon dans la nuit. C'est beau mais c'est tant pis. Juste quelques photos que l'on verra sur les libessss d'un infini sans fin, tu sais les visions à la gueule des métros, les yeux éteints, une photo pour l'éternité, quelques tiktok de merde dans un cnews F éné, pour les squelettes car nous ne serons plus là pour regarder et vibrer et s'énerver. Tout finira comme mon âme, loin, sans lumière, sans espoir, dans un bruit sourd et des vagues au delà des cœurs, emportant mes souvenirs et ma vie. Juste mortel ! Je suis juste mortel, avec une mémoire d'un triste, que restera-t-il de moi quand les bombes viendront nous lécher le cul dans la nuit, quand mes champignons hallucinooooosssseee éclaireront le ciel dans une odeur d'un adieu, putain je n'en peux plus, vivement finalement. Cela fera de belles photos car nous en retrouvons des pires gloires des pertes de vies d'ailleurs, d'une autre vie, c'était qui déjà sur les photos hein ?!!! Tu sais ceux qui pleurent et qui crient quand les pluies d'acide les pulvérisent sans voix, juste des images sans son. Ces enfants qui courent à moitié nus, leur corps dans des nuages sans odeurs et leur peau qui fond....tu y crois encore que l'on peut vivre d'amour ? Il y a trop de sang dans les rivières, il y a quoi après ? Je doute ! Est-ce que ce sont mes derniers mots pochés sur des feuilles ? J'en doute, quoique ! Journaliste de guerre, humoriste de l'horreur, conteur de fables morbides, découpeur de cadavres, magasinier de l’extrême violence, à commander des armes et des balles, ou des cercueils. Je serais bien sans moi. Écrivain de la mort, à force d'en coucher des lignes par milliers, je serais cela. J'y crois pas. Mon cancer sera-t-il plus fort que la bombe ? J'espère mais je n'y crois pas. Je vous entends crier et ça m’empêche de dormir, comment je peux me reposer dans ce cimetière ? Empathie, putain de maladie, ouai j'en suis en enfer ! Toujours! Je bois encore du mauvais vin, sans merci, pour l'amour des dieux. Je regarde des poseurs de bombes, des kalachnikovers qui ressemblent à l'espoir de leur paradis avec des gonzesses à poils par milliers, dieux est en nous. Des tranchées....mais ça n'existe plus, juste des putes en gilets pare-balles rue Saint-Jean avec des feux d'artifices contre des commissariats, ils vont tous brûler. Je vais pisser sur vos tombes. Y chier s'il le faut. Je suis d’extrême côté de ceux qui courent après les chats pour les bouffer, quoique je n'ai jamais tué de chats, ou alors il ne sentait pas bon. Faut faire tomber la tour Eiffel, rien à foutre ça me fera de la ferraille pour mes prochains projets, loin des overdoses des médailles des jeux olympipipipipiques, à la santé des peuples noyés dans la Seine en nageant en pleurant les odeurs des éboueurs. Je m'éparpille juste parce que je prends un peu de cocaïne, magasinier qui prends de la poudre. Tu crois que c'est cher mais pas plus que ta sortie dans tes délires de bouffe, moi je prends, je sniffe, ola. Te voilà choqué, pauvre vie que tu as. Je suis loin , tu crois quoi, que le barbu avec sa sale gueule de bois boit du coca ? hahahahahahahahahahahahahahahahahaha. Allez demain la guerre, je suis loin au-dessus de ça, sniffe avec moi et on ira !
Madloonflayed©2024- c'est triste mais LES DROGUES.....

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lundi 11 mars 2024

JE SUIS LA VARIABLE

 


Depuis l'âge de neuf ans, j'ai toujours tout calculé, anticipé, pour finir que cela devienne une passion pour les mathématiques, les chiffres mais surtout les problèmes et leur putain de solution. J'ai toujours adoré ça sans jamais en être parmi les premiers, parce que je prends mon temps, parce que quand la solution est trop évidente ça me fait chier et je m'ennuie. Je gère ma vie depuis comme cela, à me torturer l'esprit pendant des mois, des années, alors que j'ai la solution. J'en rajoute, des x, des y, des omégas. Mais depuis quelques années je m'interroge, mais j'ai surtout tellement d'inconnues que l'équation en devient illisible, incompréhensible, alors que je sais faire, il suffit de supprimer les lettres en trop, qui n'ont rien à faire dans l'équation et que je me suis amusé à ajouter, pour rien, ou pour me faire souffrir peut-être et surtout quand même. Pour me faire douter c'est certain. Parce que encore une fois c'était trop facile. Et là j'ai un beau problème, magnifique, avec ce qu'il faut d'inconnues pour en faire des pages de calculs, j'en ajoute encore un peu parce que à peine posé le problème que j'avais la solution. Pas grave, j'en ai ajouté, juste pour le suspens, juste pour avoir quelques années de plus à devenir fou. Mais quand toutes ces équations commencent à faire du mal autour de moi, je pense qu'il est temps de prendre l'ardoise et de poser clairement les lignes de calculs, à la limite jeter l'éponge et la craie pour prendre un marqueur bien indélébile. Parce que je sens que ça patine, que je sillonne en rond et là, ça va trop vite, beaucoup trop vite, je reviens trop vite au moment où je pose l'égal, où je sais que j'ai la solution mais... encore quelques inconnues, le faut-il ? La solution peut résoudre tellement de problèmes posés chaque année, en pile, les uns sur les autres, je peux tout faire tomber d'un coup. Mais ce n'est pas sans conséquences. Il faut apprendre à n'en avoir rien à foutre. Je n'en ai plus rien à foutre car je sais que les conséquences seront moins importantes que la solution, maintenant je le sais, hier je ne le savais pas, à neuf ans je ne pouvais pas le savoir. A cinquante cinq et quelques problèmes plus loin, cela devient carrément une évidence. Tout mon entourage en souffre, en silence, surtout sans le savoir, car ils n'ont jamais posé tous ces calculs, ils vivent leur vie, mais en souffrance, avec le manque de solution. Ce moteur de l'intelligence qui se trouve derrière l'égal, à quelques variables près, est tellement simple. La seule variable à faire sauter, c'est la résistance, et je suis fatigué de résister. J'ai la solution mais je ne peux pas la poser vivant, parce que certaines variables résistent contre moi. Je sais exactement le résultat derrière cet égal, sans un si et seulement si, mais vraiment sans si, un vrai résultat après de nombreuses années de calculs, la solution aux problèmes de mes proches, si je me fais sauter la variable avec un peu de courage j'ai le chiffre derrière l'égal ! Et le plus kiffant dans ce résultat, c'est que je le connais depuis presque quarante ans quand je m'éclatais les phalanges contre les murs...
Madloonflayed©-2024- Ce soir j'étais prêt, j'ai juste eu peur du bruit.
 
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vendredi 8 mars 2024

JE N'AI MÊME PAS DE TITRE

 https://www.parismuseescollections.paris.fr/sites/default/files/styles/pm_notice/public/atoms/images/LEC/aze_mlm2002.789.1_001.jpg?itok=Z_zenNV4


Ne reste t-il que la lumière des Iphone pour éclairer les bunkers ? Hier le nez bouché, demain une balle en pleine tête à l'orée d'une frontière inconnue, et entre tout ça, que reste-t-il de l'amour, que reste-t-il de nos efforts à survivre ? Libérez nos prisonniers et lâchez les sur ce front de la débilité, ça nous permettra de nettoyer les cellules et y mettre un coup de peinture blanche sur les murs, faites signer des pactes de loyauté aux itinérants en France en les envoyant à côté des délinquants juste pour savoir jusqu'où ils aiment nos tripailles et nos bords de mer, envoyez les ouimacronistes avec une cuillère à café combattre les vodkalisés, tu as voté alors tu vas y aller, c'est le tien. J'ai coupé le son ohhhhhh ! Mais je ne remets pas le son, la splendeur de nos futures nuits d'été, une musique en fond de cathédrale, le vin le long de tes reins, le rire de nos enfants, les secondes les minutes à aimer tous nos êtres, il suffit de couper le son pour y retourner, pour jouer avec les lapins de nos grand-parents, pour savoir si tu aimes le beurre juste avec des fleurs, embrasser la jolie fille de ta classe de cm1, réciter des poésies apprises la veille devant ta maîtresse émerveillée, chanter dans ta chambre avec tes parents derrière la porte éclatés de rire, fumer du bois fumant en toussant...et demain placer une cartouche dans un fusil. Je ne suis plus là, je suis loin, loin devant et surtout loin derrière, je n'ai rien entendu et rien retenu. Je ne vois pas l'infini dans cette mort annoncée. Pour juste ajouter des phrases dans une fausse histoire où tu verras le yacht en image sur la couverture des bouquins d'histoire mal écrits qui finiront dans des zep déchirés par de petits connards décérébrés dont leurs parents voilés n'auront jamais fait cette guerre, non merci. Les tranchées ne reviendront pas, personne ne pourrait tenir. Au pire nous irons sur les routes dans nos panzers gavés d'essence dans les coffres et trois sandwiches au poulet juste avant de mourir sans avoir à rendre les armes. Je préfère baiser des putes rue de Strasbourg que de lever mon majeur devant leurs yeux en criant et courant affamé. La guerre ? C'était ça le sujet Madloonflayed ? Appelle-moi Emmanuel Mini ce soir, tatoué dans mon cerveau, un grand-père héro mort maintenant noyé par un mal au cerveau. Ne reste-t-il que des Iphone pour éclairer tous ses bunkers et son histoire ? Ne me demande plus de pleurer, je vais finir noyé. Regarde tout ce qui t'entoure, regarde ton chat, ton chien, et dis moi ce que tu vas laisser, à la limite je vais laisser ma cocaïne planquée sous mes t-shirts dans ma penderie. Je ne vais pas bouger d'ici, je vais tout prendre et résister, la vue sur la mer, ils n'arriveront pas par bateaux. Je vais profiter de ce week-end pour enterrer les juifs morts pour je ne sais pas pourquoi, je vais enterrer les noirs morts dans les champs de coton, je vais népaliser les princes des contre-libertés, les politiques, l'argent. C'est triste tout ça. Je vais enterrer ma vie et remplir mes veines de toxines parce qu'il faut partir en jet au fond de mon 7ème sous-sol, je suis une star qui ne touchera jamais la gloire et pourtant qu'est-ce que je prends comme drogue... ha ha ha.
Madloonflayed©2024 - ce texte est juste auto-censuré par moi-même l'auteur, la grande version non censurée a été publiée sur mon blog pendant 7 minutes puis supprimée par le même auteur.....j'ai les flics à mes trousses mais je vais trop vite...bienvenus dans ma liberté d'expression, je ne lâche pas mais je n'ai pas les mêmes avocats que Charlie...fuck la peur mais avec un point rouge au milieu de la tête quand même ! PUTAIN !