Tu dérembourses les médocs qui commencent à faire
effet et tu abats un fils de pute à peine voilé au pied d’un pont. Au
bout de ta laisse tu laisses venir les dieux envahir ta cave de leur
colère en pissant du sang alors qu’il suffirait d’ouvrir les yeux. Les
journaleux ne comprennent plus où est la dictée, sournoisement cachée
dans les mousses des sièges de l’Assemblée, faut-il le dire ou juste
faire des fautes d’orthographe, ou simplement oublier un mot, une
phrase, un fait réel quitte à sucer, si jamais t’avales…. L’audience ne
coûtera que quelques millions d’euros alors que les jaunes se pellent
les couilles sur les ronds-points pour 5 cent d’euros en même temps ils
sont tous footeux ces abrutis. Ces fils de putes ont abattu ma liberté
d’expression en éteignant la lumière chez mon pote Charlie, tout le
contraire de l’armée qui ne rigole pas ou plus ou seulement entre le
ramassage des feuilles mortes et le service du Beaujolais au mess des
officiers. Les turcs ne parlent même plus de la retraite mise en examen
après la mort cérébrale des frontières quand il faudra cotiser des ptits
sous pour continuer à danser dans les ballets à l’opéra à plus de
soixante balais avec les couilles pendantes dans les tenues. On ne boit
plus le champagne en tenant ses mains jointes pour le sang du Christ
quand on libère la mauvaise conscience de quelques aubes qui se sont
baissées pour choper des ptits culs car il faut rénover Notre Dame à
coups de milliardaires complices. Alors faut-il se rassembler ou
simplement continuer à payer la redevance télé juste pour voir arriver
Marine en même temps que la neige qui fera péter les câbles sous son
poids ou pour regarder les films de violeurs ou d’attoucheurs,
franchement la musique adoucit les cœurs ah bah non en fait. Tu cours
dans tous les sens dans la rue pour empêcher la zone d’envahir ton
porte-monnaie en soufflant entre deux arrêts cardiaques que d’acheter
une chemise moins chère un vendredi est franchement nuisible à la santé
des flamands roses exilés sur les montagnes Corses. Elle regardait les
photomédiasses quand Muriel s’est niqué le pied alors qu’elle était en
repos à l’Elysée en essayant d’accoucher d’une année de cotisations sans
déplacements car les poches de glace ne tiennent pas il ne fait pas
assez froid sauf chez moi. Avant tu savais ce que faisait Johnny et tu
dormais tranquille mais maintenant tu n’avances plus sans ton gilet
pare-couteaux et t’essaies de choper les billets qui volent dans les
airs quand ses potes crèvent à l’instant en plein milieu d’un spectacle
de la volerie des vautours. Bon faut que file, j’ai reçu mon art et
décoration de décembre et on y parle de rideaux anti flammes et de
transparence…je n’ai pas encore compris je vais le relire…
Madloonflayed©-2019-Qui depuis longtemps a oublié de dormir. 637ème
texte publiés – plus de 900 sur des cahiers, nuit et jour mon pote !!!
J’étais là assis accroché à cette branche par une corde. Tu as menti.
Je n’ai plus rien à dire. J’ai baissé ma capuche sur la parole des cons.
Mes oreilles n’écoutent plus tes discours, je ne vois plus rien tout
autour de ma lutte. Tu pleures encore ? Je suis si triste de mourir, du
haut de ma branche je pensais faire le mort en sautant dans le vide mais
mon cercueil a pris feu. Faudrait peut-être me tirer une balle en
pleine tête si tu veux me faire taire. Je me branle sur les murs
virtuels. Qui prends tes décisions ? Moi je suis le troupeau car il y a
longtemps que mon job me plante des lances dans le bide, j’ai cru un
moment être un héros tu sais celui qui fait vivre les enfants devant les
télés. Ma branche est vraiment très très haute….j’ai sauté et j’ai
baisé mon destin. Et elle est où ta révolution à toi ? Destin !!!! Alors
vas te faire foutre. Quand tu cris dans la rue tu ne penses qu’à sauver
ton cul alors vas-y fais vraiment quelque chose qui ne te pousse pas à
mourir comme un mégot au fond d’un cendrier. Allume-toi dans un Crous et
là je verrais vraiment que tu as des couilles pour imprimer ton
discours au fond de la fumée de ton corps calciné. Alors tes petits
discours sur les ronds-points comme un petit neurone en jaune vas-y
marche comme un soldat pour réclamer des sous tu me fous la gueule de
bois. Tu ne sers à rien tu es bien portant et tu pues la sueur mais ta
connerie se multiplie. Je regarde mon ombre et c’est bizarre mais dès
que la lumière me défie….je ne rêve plus de rien. Je vais continuer de
vivre pour pouvoir picoler et conduire mon panzer à plus de cent et
buter tes gosses que tu attaches les mains dans le dos sur une chaise à
la cantine parce qu’ils sont trop agités ou alors parce qu’ils ne
veulent pas manger un steak en mutation. Je vais vivre pour crier devant
les églises ou devant tes mosquées et gerber dans tes foulards qu’ils
soient blancs ou noirs. Je vais vivre pour pouvoir prendre un flingue et
tuer les filles qui courbent leur échine devant un enculé qui les
frappe, ou alors je vais flinguer ces enculés après un verre de vin
rouge. Alors je vais vivre et je vais courir après le soleil, le
décrocher et te l’enfoncer dans le fond de ta gorge quand tu me diras
qu’il fait trop froid en hiver et trop chaud en été. Je vais vivre pour
pouvoir encore me balancer tout en haut de ma branche et te regarder te
pendre à un bout de papier et t’entendre te dire « a voté » comme une
mauvaise pute qui aime se faire enculer sans toucher une thune. Je vais
continuer de vivre pour regarder les agriculteurs s’assassiner avec les
produits phytos qui font du mal aux oiseaux et pouvoir leur dire qu’il
faut qu’ils arrêtent d’être si cons. Je me balance encore un verre de
Chardonnay greffé sur la peau de ma main pour creuser encore ce trou qui
me sépare de ta connerie. Je veux vivre pour continuer à observer ce
massacre, ce putain de désastre que tu as édulcoré dans les rues. Alors
vas-y continue à être tellement si con. Quand l’électricité sera
remplacée par les balles qui vont siffler je serai là debout sur le haut
de ma branche et je baisserai les yeux devant le feu ton corps calciné
et il sera trop tard pour que tu me demandes de l’aide, je t’avais
prévenu mais tu ne m’as jamais écouté.
Madloonflayed©-2019- tu l’entends le printemps qui arrive ? Moi non !!!