vendredi 28 décembre 2012
PERDUS
Ils
ont perdu le sens du rythme, du travail, des valeurs....
Ce n'est pas tout croyez moi....
Feindre
l'indifférence, ne pas se satisfaire
de
ce que les autres possèdent, ne surtout pas
regarder le bonheur des autres,
sans quoi ils risquent d'être malheureux
Mais
tous ces gens, qu'ont-ils fait
de
l'espoir
, qu'ont-ils fait
de leur rêve ??????????........
jeudi 20 décembre 2012
TOI TU DIS
Tu les trouves formidables, lui avec ses cheveux sales et longs et sa barbe made in Jésus, l'autre avec sa voix profonde et son chapeau, elle avec son allure d'adolescente perpétuelle et sa voix soufflée.
Tous ces artistes tu les trouves bien, comme toi tu aimerais être, même que tu dis que tu pourrais vivre à coté d'eux.
Lui et ses cheveux longs et sa barbe fume de l'herbe et tu le trouves génial.
L'autre et son chapeau t'ensorcelle avec sa voix de dingue et il a troué ses bras.
Elle et son charme destructeur, elle est bandante et respire de la neige au goûter et tu l'envies.
Et moi bordel, tu dis que mes textes sont une pure folie, que si je continue à écrire ainsi je vais avoir des problèmes, que je vais devenir fou, tu dis même que tu vis avec un dingue doué de je ne sais quelle encrisime maladie, tu dis que je t'empêche de dormir au milieu de mes nuits de folie, tu dis que je survole tout mais que les mots traversent quand même les feuilles de papier et sont gravés dans le bois du bureau, tu dis que tous ces mots ne servent à rien, ne nous servent à rien, tu dis que tu ne me comprends pas et que mes délires n'appartiennent qu'à moi, tu dis que je suis un alcoolique quand je suis obligé de cracher toutes ces histoires hors de mon cerveau avec quelques verres de vin blanc.
Alors moi je ne suis pas comme eux ???
Ah ouai, c'est vrai, moi je suis un vrai dingue orthésé d'un crayon de papier HB, et je ne rapporte aucun euro, eux sont célèbres et riches, tu leur autorises donc les pétards, les dérives sexuelles, les trous dans les bras, les sinus poudrés.
Mais moi avec ces quelques mots, ces quelques verres, je dois fermer ma gueule et aller me coucher !!!
Je vais déjà mourir et après, si il me reste du temps, j'irai m'allonger, pour ce qui est de dormir, ne compte pas sur moi...
samedi 15 décembre 2012
CE SOIR
La raison culturel a été censurée, je suis puni d'avoir écrit, d'avoir dit, d'avoir pensé, maintenant j'essaie de dormir assis devant ce clavier, la nuit est finie, et je ne dors toujours pas. Mais putain, qui a fait ça, mais putain pourquoi, et pourquoi moi, je veux juste dormir, fous moi la paix, les gens qui m'entourent ne me comprennent pas...alors dégage quoi, va torturer un autre esprit, le mien est banal, merde. Je suis un magasinier de merde, qu'est-ce que tu fous avec moi, c'est quoi la suite ? Mes mains ne servent qu'à porter, pas à écrire, alors c'est quoi tous ces mots qui défilent, t'as pas trouvé mieux que moi, c'est ça ? Fais chier, emporte moi pour de bon, enlève moi du réel et laisse moi dormir !!!
TA GUEULE ET ECOUTE
j'en
parle certes, mais je n'en donne aucune explication, hummm d'accord, juste 2
mots
1ère partie
the reflexion's bibliography , j'aime bien l'anglais, car là en 2 mots je
résume 1 phrase française certainement longue, alors la first party c'est ça,
c'est moi tel que, écorché, je m'abîme, je m'habille de cet être pour parler de
lui-même, pas clair...
2ème partie
L'histoire de 2 jeunes, en route pour une aventure qui va bouleverser leur vie,
le temps de passer leur bac et faudra ensuite s'en aller...
Des
dialogues crus, entiers, pas de censures, la vie de ces 2 étudiants tel qu'elle
doit être racontée, jamais ils ne s'en sont sortis,
oHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH arrête toi mon gars, tu vas finir pas livrer la
fin, tiens au fait.... j'ai pas encore la fin, allez j'y retourne.
FAUDRA ENSUITE S'EN ALLER
CES JOURNEES LA
encore une de ces
journées
où je ne me sors plus de
mes pensées, le ventre à l'air et la tête sous l'eau
où vivre simplement
devient cruel
où j'aimerai écrire,
encore , poursuivre le non réalisable,
graver sur ces feuilles de papier mes histoires
ne vivre et ne penser qu'à ça, ne pas être coupé, censuré
probablement je n'en
sortirai donc jamais
condamné à le laisser me torturer
et quand bien même, je n'ai pas du tout envie que ça me laisse en
paix
alors...
Deportivo - 1000 moi même
Mais dans mon monde, dans mon monde
Il y a du chlore dans les ornières
A voir d'ici, c'est immonde tout ces miroirs à l'envers
Si tous les cancres ne sont pas nés du même père
Tous les cancres se mettent la tête à l'envers
Mais dans mon monde, dans mon monde
Ecoute les s'marrer
Y'a deux amis qui répondent
Si tu pars, t'es un pompier
Jeter l'ancre puis il est ramassé à terre
Jeter l'ancre
Putain demain c'est l'hiver
Refrain :
Ce soir mon amour valse et danse
Demain on verra, on verra
Ce soir mon amour valse et lance
Des étoiles sous mes pas
Mais dans mon monde, dans mon monde
Ecoute mon nombril parler, dire
Y'a mille moi-même qui m'inondent
Si je flotte, j'suis un sorcier
Jeter l'ancre puis il est ramassé à terre
Jeter l'ancre
Putain demain c'est l'hiver
Il y a du chlore dans les ornières
A voir d'ici, c'est immonde tout ces miroirs à l'envers
Si tous les cancres ne sont pas nés du même père
Tous les cancres se mettent la tête à l'envers
Mais dans mon monde, dans mon monde
Ecoute les s'marrer
Y'a deux amis qui répondent
Si tu pars, t'es un pompier
Jeter l'ancre puis il est ramassé à terre
Jeter l'ancre
Putain demain c'est l'hiver
Refrain :
Ce soir mon amour valse et danse
Demain on verra, on verra
Ce soir mon amour valse et lance
Des étoiles sous mes pas
Mais dans mon monde, dans mon monde
Ecoute mon nombril parler, dire
Y'a mille moi-même qui m'inondent
Si je flotte, j'suis un sorcier
Jeter l'ancre puis il est ramassé à terre
Jeter l'ancre
Putain demain c'est l'hiver
FAUDRA ENSUITE S'EN ALLER
Trop souvent rangé, parfois déplacé, trop longtemps abandonné et
quelques fois repris...
Il faut que je dépasse l'envie de ne pas le faire, alors c'est
fait, je pars avec cette idée et je continue ce rêve de bouquin qui m'a
construit, je l'écris, et surtout, oh oui surtout, je vais souvent le ranger,
parfois le déplacer, longtemps l'abandonner et quelques fois le
reprendre...mais il continue; il y a eu un craquement cérébral et j'ai compris
ce que je voulais, ce que j'avais en fait enterré, je le reprend maintenant,
l'éveil de mon corps, l'harmonie de ses gestes, la spontanéité perdue, il faut être
explosif, j'étais explosif, les murs s'en souviennent, mes mains âbimées aussi,
mais ça revient, tranquillement mais ça revient, j'en suis ravi...
Je vais sculpter tout ça, en osmose avec les restes de mon corps,
je vais travailler l'esprit et les muscles, je vais de nouveau combattre, à la
vie, à la mort....
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